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PETITES ANNONCES


Correspondance à l`Association "kalati" on lit en Douala

Madamme Christianne RICARD,  Présidente de l`Association "Kalati,on lit à DOUALA",
 Aucours d`une consultation du site www.peuplesawa.com dont nous sommes de fidèles adherants, nous avons pris connaissance de votre association en tombant de manière heureuse sur l`une de vos annonces. Ce qui n`a pas manqué de retenir notre attention et de susciter plus que jamais notre intéret.
En effet, nous sommes une jeune association dénommée " CERCLE DES DIPLOMES ET ETUDIANTS PONGO"; c`est à ditre des jeunes ressortissants de l`Arrondissement de DIBOMBARI.DIBOMBARI est une campagne dans une banlieu de la ville de DOUALA, à environ trente (30) kms, sur la route nationale n° 2, axe Douala- Bafoussam.Nous aurons le temps de revenir sur la présentation et les atouts de cette illustre campagne.
Sans aller dans les details des statuts qui régissent notre Association, Le Cercle des Diplomés et Etudiants Pongo ( CDEP) s`est donné pour principaux objectifs de:
- creer un espace de rencontre et d`echanges entre les jeunes diplomés et étudiants pongos
- Developper des actions de solidarité entre les membres de l`Association d`une part, et d`autre part entre l`Association et les cadets sans distinction des lycées et collèges de l`Arrondissement; notamment par les dispenses périodiques des cours de soutien, distribution des épreuves des établissements secondaires de la ville de Douala, distribution de quelques manuels scolaires au programme et hors programme pour les exercices d`entrainement, organisation des conferences, causeries éducatives et animations diverses etc...
- Creer une synergie entre les ainés ou elites du coin et nous,dans le but de soutenir nos actions et divers projets .
Dans l`un de nos projets cruciaux, nous avons envisagé la création d`une médiatèque municipale;avec à son actif une bibliothèque fournie avec salle de lecture, un espace secrétariat bureatique et eventuellement, un espace de visionnage.
Les raisons de ce projet partent de plusieurs constats:
- Dibombari est une zone enclavée, les éleves font l`objet non seulement d`un manque criard d`enseignants et meme d`enseignements de qualité, mais aussi d`accès à une documentation fiable leur permettant de combler les lacunes des enseignements reçues et d`affronter les examens de fin d`année.
- Les parents agriculteurs de subsistence pour la quasi-totalité ( Dibombari ne bénéficiant d`aucune struture économique),sont de plus en plus pauvres et fatigués, leur état ne leur permet meme pas de fournir le minimum des fournitures scolaires à leurs enfants.
Ces deux constats, pour ne citer que celles-la,car liste n`est pas exhaustive, sont suffisamment graves et ont des consequences que nous qualifiérons meme de catastrophiques.Nous assistons impuissants, malgré nos efforts de soutien intellectuel, à un taux de plus en plus élevé des échecs scolaires aux differents concours et examens officiels; à la turbulence et agressivité poussées des élèves envers leurs enseignants;à la progression du taux d`analphabétisation,bref à une jeunesse qui s`adonne résignement à la débauche et facilité. 
Nous avons entièrement monté ce projet et le couché sur un document.Nous l`avons présenté à certaines élites qui nous avaient promis leur soutien et sponsoring.Malheuresement, ce ne sont encore que des promesses jamais tenues.
Ainsi, la découverte de votre Association " Kalati, on lit à DOUALA", une Association qui oeuvre dans l`aide à la création des bibliotheques au Cameroun se revelle etre une aubaine et la bienvenue.
Madame, vous mesurez l`importance, l`utilité et la nécessité de la lecture, de la decouverte de la connaissance, de la recherche et de l`épanouissement de l`être. c`est pourquoi, pour ce premier contact, nous venons auprès de votre dynamique et illustre personnalités solliter ce partenariat, ou mieu encore, solliciter notre intégration dans vos projets de création de bibliothèques au Cameroun.En d`autres termes nous voulons que vous venez creer une médiathèque à Dibombari.
Nous l`avons lu, qu`il ne s`agit pas pour vous de creer de manière désordoné ou à tout-va des bibliothèques partout dans le territoire, qui vous amenent à disperser vous énergies et à produire de piètres performences. Vous avez parfaitement raison.Mais de grace, comprenez- le, une bibliothèque à Dibombari,ne sera même pas seulement l`interressement de la population à la lecture, mais un apport indescriptible à la relance de l`éducation, de la qualité intrinsèque de l`être des nésseciteux, de l`epanouissement des jeunes, et même de l`économie du coin.
En fevrier,nous projettons organiser une semaine de l`excellence de la jeunesse dont nous vous prierons de faire partie.
Mais en entendant, nous souhaitons avoir au moins votre reponse favorable à notre demande, au mieux recevoir de vous un entretien pour de plus emples details.
Veuillez recevoir Madame,nos considérations les plus distinguées.
                                                                                 EKOSSO LOBE Yescot
                                                                              Secrétaire Général du CDEP
                                                                               yescotekosso@yahoo.fr
                                                                                        +237 7789 87 09
                                                                             Jacques EBENGUE EBENGUE
                                                                                  Président Général du CDEP
                                                                                         +237 9949 22 42
    


De :  Mr CERCLE DES DIPLOMES ET ETUDIANTS PONGO Arrondissement de Dibombari     (22.10.2007)



Soutien massif à Victor Bissengué

A.R.M.A.D.A
Agir pour les Réparations Maintenant pour les Africains et Descendants d`Africains
assoc.armada@yahoo.fr

Soutien massif à Victor Bissengué
mercredi 24 Octobre 2007, 13h
TGI de Paris, 17e Chambre,
Palais de Justice de Paris, métro : Cité, ligne 4

Victor Bissengué, l’un des rares chercheurs d’envergure internationale à défendre les Pygmées menacés de se voir dévalisés par les compagnies d’exploitation forestière qui cherchent à leur voler leurs secrets en matière de botanique médicinale, est le gestionnaire du site www.sangonet.com.

Il doit comparaître le mercredi 24 octobre 2007 devant la 17ème chambre pour avoir publié en février 2005, en toute bonne foi et après plusieurs autres sites et médias qui ne sont pas incriminés (!!!!!) un article déplaisant pour la société SESAM, par ailleurs en liquidation et restant à devoir à l’Etat centrafaricain des sommes de l’ordre de millions d’euros. L’article incriminé s’intitule «Forestier centrafricain », et il émane d’Arnaud Labrousse, pseudonyme de Paul Arthur. Selon l’avocat de Victor Bissengué, M° Azoumé, il s’agit d’un procès purement politique.
Qu’est-ce que la société SESAM, installée dans la Sangha en RCA ? BANGUI, 11 jan 2007 - Le gouvernement centrafricain a annoncé jeudi à Bangui la mise en liquidation d`une société forestière en difficulté financière depuis de nombreuses années et coupable, selon lui, de ne pas avoir payé régulièrement les impôts et taxes dus à l`Etat. La Société d`exploitation forestière en Sangha Mbaéré (Sesam) doit à l`Etat centrafricain 7,3 milliards de francs CFA (11 millions d`euros) au titre de l`impôt sur les bénéfices et 310 millions de francs CFA (472.000 euros) au titre des taxes forestières, a expliqué à la radio nationale le porte-parole du gouvernement, Aurélien-Simplice Zingas. "Malgré un régime de faveur excessive, la Sesam ne s`acquittait pas de ses obligations fiscales", a observé M. Zingas. "La situation d`inactivité de la Sesam constitue un énorme manque à gagner en terme de taxes forestières, en terme de production et de recettes fiscales", a-t-il ajouté. Société à capitaux libanais et malaisiens, la Sesam, qui exploitait plus de 300.000 hectares à la frontière de la Centrafrique et du Congo (sud-ouest de Bangui), a arrêté ses activités en 2004 en raison "de graves dysfonctionnements liés à une mauvaise gestion", selon le gouvernement. La société avait été placée en redressement judiciaire en 2005, puis privée de son permis d`exploitation. Une dizaine de sociétés forestières exploitent quelque 3,5 millions d`hectares de forêt en Centrafrique. Le bois représente 40% des exportations du pays, emploie directement 4.000 personnes et rapporte chaque année 5 à 6 milliards de francs CFA (7,5 à 9 millions d’euros).Voir tous les détails de l’affaire sur http://www.centrafrique.com/sesamesangonet280406.htm .

Avec le Collectif des Centrafricains, ARMADA appelle à venir soutenir massivement Victor Bissengué :
au Palais de Justice de Paris, TGI, 17e ch.
mercredi 24 octobre 2007, à 13h
métro : Cité
Contacts : Tél : 06 88 64 40 61, mail : collectif-des-centrafricains@wanadoo.fr
Paris le 18 octobre 2007


Email: collectif-des-centrafricains@wanadoo.fr

Lien: http://www.centrafrique.com/sesamesangonet280406.htm

De :  Site Admin     (21.10.2007)



salut mes freres sawa

je suis un jeune camerounais etudiant en europe et  qui aime la tradition africaine et particulierement sawa. j aimerais savoir mes freres et soeurs sawa comme faire pour trouver  la musique du regrete Eboa lotin sur internet.   ce grand homme m`a beaucoup marque dans mon enfance, et aussi parce que ma femme d origine russe des le premier jour ou nous avons ecoute un de ses extraits,  elle etait folle de joie. svp mes freres  aides moi a trouver au moins un de ses dernier titre. voici mon mail.
 malickse@yahoo.fr je vous souhaite une bonne journee

De :  Mr kouotou malick     (04.10.2007)



Nouvelles de la caravane scientifique 2007 de SIA au Mali

Cher Dikobe Metusala,

La caravane scientifique au Mali s`est déroulée du 23 Juillet au 11 août, donc jusqu`à la veille de mon retour en France. Tout s`est bien passé, je reviens riche d`enseignements, d`informations, de documents et de contacts. Notre équipe était constituée de Fad Seydou le responsable du symposium malien des sciences appliquées (MSAS), Issiaka Traoré maître-assistant en physique à la faculté des sciences et techniques de Bamako (FAST) et de Moussa Bellem (une recrue locale de SIA), tous membres de SIA. Nous avons fait 3 animations à Bamako (une fois au lycée moderne élite du quartier Lafiabougou et deux fois à la cité des enfants au quartier Cité Unicef), 1 à Sélingué (région de Sikasso à 140 km à l`ouest de Bamako), 1 à Markala (région de Ségou à 200 km à l`est de Bamako), et 1 à Gao (à 1300 km de Bamako). Nous avons travaillé sur une étendue géographique de 1500 km (de Sélingué au sud-ouest de Bamako à Gao au nord-est de Bamako) et 3300 km d`allers-retours sur route en cars ou taxis-brousse. J`ai visité le tombeau de l`askia Mohamed à Gao, c`est bien une pyramide à degré inspirée de la pyramide de Djoser à Saqqara comme le dit Cheikh Anta Diop dans Nations Nègres et Culture. La première assemblée générale de SIA aura lieu fin septembre, les personnes hors de France pourrons participer directement à distance avec MSN. A partir de cette date nous commencerons à enregistrer les cotisations mensuelles. A bientôt.

Jean Paul Mbelek


Email: mbelek.jp@wanadoo.fr

Lien: http://www.sia-kmt.org/

De :  Site Admin     (20.08.2007)



Le Frère Senfo Tonkam traduit en justice le 21 Août 2007

Chères Sœurs et Chers Frères,

Le Mardi 21 Août 2007, à 12 h, le Frère Senfo Tonkam, comparaîtra devant le tribunal de la ville de Essen suite à une action judiciaire raciste engagée par la police allemande avec la complicité de la justice allemande .

On l’accuse d’avoir « insulté » des policiers et s’être « rebellé contre les forces de l’ordre » . Alors que, dans cette affaire qui dure depuis un an (4 Août 2006) ce sont les policiers qui l’avaient maltraité de façon raciste, battu et torturé. Par conséquent, Brother Senfo avait été le premier à porter plainte contre eux. Son avocat avait aussi demandé au tribunal de saisir et sécuriser les bandes vidéo du train, de la gare et du poste de police qui documentent exactement ce qui s’est passé ce jour-là.

Mais ici, leur tactique c’est de toujours faire une sorte de contre-plainte contre les Militant/es Noirs/es qui osent porter plainte contre la police.

Et comme la justice blanche allemande est extrêmement et désespérément raciste, les juges rejettent systématiquement les poursuites que les Militant/es Noir/es engagent contre les policiers, mais maintiennent la plainte de la police contre nous pour ensuite nous traduire devant les tribunaux. Dans le cas présent, le juge a proposé à l’avocat du Frère Senfo un marché de dupes de la part de la police : s’il laisse tomber sa plainte contre ces policiers, la justice arrêtera aussi les poursuites contre lui.

Le Frère Senfo Tonkam a rejeté ce marché raciste en citant un proverbe africain pour signifier clairement qu’il n’a rien à perdre : « le cadavre n’a plus peur du cercueil ».

Venez massivement soutenir le Frère Senfo le :

Mardi 21 Août 2007, à 12 h, au Tribunal ( « Amtsgericht ») de Essen, Zweigerstr. 52

Salle 43, dossier N° : 40 Ds 27 Js 557/06 -657/06

Information et Contact : Sister Abla POKOU : blacknation.germany@googlemail.com


Source: http://www.thotep.com/article.php3?id_article=353


Thotep a recueilli le témoignage audio de Senfo TONKAM, victime d`abus raciste et de tortures par la Police allemande et traduit en justice ce mardi 21 août au tribunal de Essen.

Thotep has collected audio testimony of Senfo TONKAM, victim of racist abuse and torture by German police forces and brought before court this Tuesday August 21st in Essen.

Email: blacknation.germany@googlemail.com

Lien: http://www.thotep.com/article.php3?id_article=353

De :  Site Admin     (17.08.2007)


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