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NON AUX BATO BA MBUSA MUNDI !!!!!!
(posté le: 09.03.2006      par  Mr mbedi ebongue hugue )



les manouvres d` une conquête sournoise au prix de la liberté d`un peuple.

Pris d’assaut par un bams :

Suite à ma requête, où j’affirmais formellement mon refus de voir s’enregistrer comme membre les bato ba mbusa mundi dans ce site, un bams, nouvellement enregistré c’est permis de me contacter, en des termes non moins provocateur, en effet, j’ai été pris d’assaut par le dénommé Téguia Eric.

Suite à un échange que j’ai rendu cordial, comme si j’avais des compte à rendre à qui que ce soit, je me suis expliqué sur les raisons de mon annonce, à savoir le communautarisme poussé à outrance dont il font généralement preuve, et qui se ressent fortement dans leur site.

Le sawa n’est il pas ouvert à l’autre ?

Dans son courrier, Téguia écrit : " lors du dernier NGONDO, dans les discours, il était question d’ouvrir cette culture à tous ". Il n’est pourtant pas interdit aux non sawa d’y participer, je me suis demander ce qu’il entendait par " ouvrir " . En répondant, je lui ai dit qu’il s’agissait de s’ouvrir davantage à ceux à qui il revient de droit, de part leur origine, au sud ouest, qui ne participe pas assez, il s’agissait de rassembler véritablement tous les sawa, d’où le thème " bolo o munja " de l’année 2005.

A ensuite débuté un long débat sur l’ouverture à l’autre, à l’étranger, où Téguia né à nkongsamba, en pays sawa dit : " lorsqu’on me demande d’où je viens, je dis fièrement que je sui un gars de Nkongsamba, ai-je tort? Je me sens chez moi à Douala ".

En principe, on pourrait être d’accord, n’importe qui se définit fièrement comme issue des divers terroir sawa, et se sent chez lui en terre sawa ; c’est ça un peuple ouvert. L’ouverture des sawa se mesure au cosmopolitisme de leur terroir

Et pourquoi ces mêmes gens parlent de manque d’ouverture chez les sawa ? Quel est le camerounais non bams, même né à l’ouest peut fièrement affirmer être de Bafang , Bafoussam, Dschang, Bamenda ? Un non bams peut il s’installer à sa guise à l’ouest et y bâtir sa vie, comme ces gens le font fièrement chez les autres ? Et finalement, les qui sont donc les plus fermés à l’étranger ? Téguia a fait allusion aux Etats-Unis dont la force vient de l’ouverture aux étranger, les bams qui manifestent un refus non voilé d’accueillir l’autre seraient donc au courant de la force qu’est l’ouverture à l’étranger…

Jusqu’où l’ouverture ?

Dans son sujet de forum, Mr Emmanuel Ebelle Mbella récuse à juste titre la tolérance excessive des sawa, même dans ce qu’il y a de plus sacré, ce peuple est donc voué à toujours se mordre les doigts à cause de son extrême hospitalité et bonté ?


Téguia est revenu sur le sujet du NGONDO, qui, dit il, doit être une fête où tous les camerounais doivent fêter ensemble, rien de répréhensibles dans ces propos, car c’est déjà le cas, tous les camerounaise y sont naturellement conviés, aux côté des sawa. Et Téguia rajoute : " je ne dit pas qu’il faille qu’on présente aux non sawa les secrets sacrées ".

Est-ce de l’ironie ? Ces dernières paroles résonnent dans ma tête comme le son d’une bombe, les bams prévoient ils à long terme d’arracher le Ngondo aux sawa ? Je refuse de voir là une simple volonté amicale et de partage, car ces gens sont bien venus en amis au départ et on été accueillit en temps que tels dans nos terres, qu’ils occupent majoritairement aujourd’hui.

Ceci est d’autant plus vrai que j’ai fait remarque à Téguia que les bams ne parlent de solidarité que quand ils y ont un intérêt, ce qu’il a naturellement admis en me demandant quel est l’acte dans la vie que l’Homme pose sans pour autant y avoir un intérêt. En d’autre terme, ils ont intérêt à infiltrer les sphères sacrées des autres peuples pour à long termes les assimiler. Bientôt, ils ne se contenteront plus d’être conviés aux manifestations culturelles des sawa, ils demanderont à se faire initier dans cette culture. Alors qu’ils ne dévoilent jamais rien d’eux, et ils ont énormément de secrets sur leur peuples, et leur légendaire rejet de l’étranger leur en garanti la conservation. Bientôt, ils demanderont aux Camerounais de se coucher par terre quand ils passent, les autres doivent ils se laisser faire ?

Les manœuvres de l’intrusion :

En effet, les bams ont presque toujours été réticents aux mariages mixtes, prétextant la conservation de leur culture, et contre toute dénaturation. Que constate t on actuellement, ils sont les plus friands de mariage mixte, ne perdons pas de vue qu’ils ne font rien sans intérêt, les astuces d’infiltration au sein d’une communauté sont multiples, ils ont choisit une des plus efficaces : épouser les filles de d’autres contrées à fin de monopoliser la descendance, et donc contrôler l’avenir des peuples, car étant assez nombreux, ils n’ont aucune crainte directe. Téguia affirme que sur les 5 copines qu’il a eu, trois étaient du littoral. Ces unions actuellement observées sont donc dues au fait que les jeunes filles courent derrière le bams , réputés avoir les poches pleines, croyant fuir la misère, alors qu’elles sont entrain de se payer la mort, d’être vendues au famla, et c’est leur propre argent qui les achète, Dans ces mariages mixtes nouvellement à la mode, le bams voit une aubaine pour pouvoir maintenir sa main mise sur l’avenir hypothéquée des autres.

Le sawa minoritaire chez lui :

Nous en sommes donc venus à la protection des minorités. J’ai fait remarquer à Téguia qu’une démocratie ne saurait fonctionner sans protections des minorités dans leur propre terroir. Avec ses comparaisons du Cameroun avec les Etats-Unis bien sournoises, une démocratie à l’occidentale fonctionnerai si la composition ethnique du Cameroun était aussi homogène que celle des pays occidentaux, le refus de considérer cet aspect est faire preuve d’un véritable tribalisme, car c’est nier l’existence de l’autre, et se sachant nombreux, on sait qu’on sera mieux lotis. Regardez la Yougoslavie en Europe. Le Cameroun a des peuples minoritaires, et les bamileke sont majoritaires, mais il ya également des Beti, des Sawa, des Haussa et des Pygmées ! Il faut en tenir compte.

Téguia me dis : " quand tu parles de protection des minorités, tu fais fausses routes, car s’il fallait protéger les minorités, c’est alors tout le Cameroun avec ses 208 ethnies qu’il faudrait protéger… "

En d’autres termes, les peuples minoritaires n’ont droit à aucune protection. Protéger toutes les ethnies du Cameroun ?

Et bien je dis oui ! Pas uniquement une seule ethnie, qui croit avoir tous les droits, car je le répète, pas de démocraties sans protection des minorités dans leur propre terroir.

Les minorités sawa sont mises à l’écart du système, et même quand il y a un peuple frère de par les origines, en plus grand nombre, ils n’ont pas le droit de venir en aide à ces derniers, sous prétexte qu’il ne faut pas aider son frère.

Un participant à un forum, Paam souligne que la situation actuelle des Sawa n’est pas enviable, froide réalité. Le sawa est exclus de chez lui et est condamné à ne par réagir, sous tout prétexte, notamment pour l’épanouissement d’un ingrat groupe ethnique peu scrupuleux qui exhibe fièrement son poids démographique en terre d’accueil aux préjudices des hôtes.

Un frère sawa véritablement originaire de Nkongsamba, comme le serait aussi Téguia, en dénonçant l’attitude des Camerounais qui veulent tuer la fierté des sawa, nommé Félicien Blaise PENDA écrit : "Et tout avec le regard traumatise de l`homme sawa . tout comme par le passe le ngondo avait ete interdit avec la complicite des sawas , tout comme la mort de Douala manga BELL et autres dignes fils sawas, aujourd`hui les maigres fils sawas au pouvoir , pour leur bien personnel sacrifie tout un peuple , le sawa aujourd`hui , a juste ses yeux pour regarder les mutations qui s`operent dans son pays , dans sa ville , il ne participe pas , il n`en profite pas , il ne reagit pas. je prefere m`arreter la pour ne pas sortir du sujet bien que…….. " .


Il faudrait continuer ce débat, car toutes la maltraitance qu’endure le sawa à cause de son hospitalité excessive, ne laisse pas indifférents tous ces fils, et même aussi les ethnies sœurs.

Car si on part du principe que la maltraitance justifie les réclamations, ceux qui sont les plus assidues dans les réclamations seraient ils les plus maltraités ?

Le sawa est totalement marginalisé dans le paysage économique, social, politique, judiciaire d’un pays qui est né chez eux, et pour légitimer ce fait, d’aucun avance l’argument du nombre, pourtant cette ethnie toute seule ne peut pas faire face à tous les autre Camerounais réunis, même si elle se croit plus importante par le nombre.

Si exclusion implique droit à la revendication, n’est il pas légitime et logique qu’il y ait des revendications strictement sawa? Car comme l’a souligné Dr Paul Menessier, minorité implique fragilité, et chaque citoyen à droit à la protection de son gouvernement.

Que veut le sawa aujourd’hui ? Etre bon pour l’autre et méchant pour son peuple, ou être bon pour son peuple et paraître méchant aux autres ? Puis que son extrême hospitalité lui vaut d’être ridiculisé, traité de bête, paresseux, inutile, bon à rien, là pour amuser la galerie, par ceux la même à qui il a permis l’épanouissement en sa terre !

L’ouest, la province la moins cosmopolite du Cameroun, c`est-à-dire la moins ouverte aux fils de d’autres terroirs, ne passe curieusement pas pour être un lieu de rejet de l’étranger, car ses ressortissants passent leur temps à se dire rejetés ailleurs, si on est rejetés quelque part, comment expliquer qu’on soit en si grand nombre à cet endroit ?

A cet effet, j`interpelle les souverains sawa et leurs élites qui étaient descendu sur le terrain au lendemain des élections municipales de janvier 1996 protester contre l`hégémonie bams qui se manifestait par l`occupation des exécutif communaux de la ville de douala par ces envahisseurs qui se cachant derrière l`unité nationale ont montré leur volonté d`occuper l`exécutif national.
A BANEDI BASAM BA MBOA SAWA SON BINYO LO S`ESELE BA BATO NA BA SUANE BISO MIAM MASU KE BA MENDE NDE TIMBISELE BISO KA BEN BA BATO O MBOA`SU

veuillez redescendre dans les rues, manifester vivement la volonté des fils et files Sawa qui veulent retrouver leur liberté légitime sur leurs terres.
Chers pères et frères Betis redescendez vous aussi sur les rues de Ngoila (yaoundé) et ses environs car le danger auquel nous(sawa) faisons face est aussi le votre faite revenir sur la scène le mouvement de libération du peuple Beti car il le faut puisque si ces gens font avancer le prétexte de leur hégémonie ils réaliserons leurs vœux "nous vous brûlerons et occuperons vos terres"

Terminé le temps du silence plus de pitié même s`ils affiche l`image d`un peuple marginalisé je vous met en garde c`est la "ruse" , ceci se vérifie même lorsqu`ils réussissent ils oublient même ceux qui les hébergeaient lorsqu`ils sont arrivés sur nos terres. Ils sont les premiers à nous insulter vaut rien pourtant ceci serait le contraire. no comment...

Les qui sont maltraités par le système ?

Les bams ont pour habitude de se lamenter au maximum pour s’attirer la pitié du monde. La soi-disant question bams qui afflue de façon intempestive dès qu’une élection s’annonce. Une maltraitance feinte. Ils ne cessent de dénoncer toutes stratégie pour les écarter des postes du pouvoir, et de l’administration. Qu’en est ils réellement ?

Pourtant, ils clament haut et fort qu’ils détiennent économiquement tout un pays, et qu’ils sont un phénomène sans équivalent au monde, pas mal pour des exclus du système !

Ils se réclament seuls et uniques travailleurs du Cameroun, non pas sans mépris pour leurs compatriotes qu’ils appellent vulgairement " Nkwa" (cherchez la signification). Pour eux, le Béti est voleur, détourner de fond, naïf, tant dis que le sawa est incapable de tout,idiot, mais c’est pourtant sur les rives du Wouri, à Douala, au cœur du pays sawa qu’est né le Cameroun.

La province d’origines des bams est dirigée, gérée, gouvernée par des bams, rien de plus normal, et personne ne leur réclament quoi que ce soit. Combien de non bams y sont établis et peuvent aspirer à des postes de responsabilités. Les bams se disent exclus des autres terroirs du Cameroun, c’est bien surprenant qu’ils y soient installés et qu’ils y occupent des postes…

Avant l’indépendance du Cameroun, chacun était guidé par des gens normaux, dont l’objectif était de valoriser leur peuple, et aujourd’hui les bams, se prétendent être les plus à même de mener le destin de chaque peuple, ils veulent diriger partout.

La province du Littoral, a plus convoitée du Cameroun, les bams utilisent volontiers le terme d’asphyxie pour parler de la situation dans la quelle ils ont mis le peuple sawa, de part leur expansionnisme barbare.

Les bams sont largement majoritaires dans les territoires sawa :
le Wouri, le Moungo, le Nkam,
ils sont plus de 80 % des habitants de Nkongsamba, 65 % des habitants de Douala, 40 % des habitants de Yaoundé, 25 % des habitants de Kribi ; j’y passerais l’année, s’il fallait vous dire tous les lieux qu’ils occupent dans les terroirs des autres.
Ils parlent volontiers d’espace vital dont ils ont besoin pour s’épanouir, ce qu’ils obtiennent chez les autres peuples.


A cet effet j`interpelle les fils et filles du moungo(zone sawa la plus touché) a multiplier d`effort pour se liberer de cet envahissement car aujourd`hui ces gens croient que ces terres leurs reviennent de droit divin.no comment!!
Pour des gens qu’on n’accueille nulle part, c’est pas mal comme score, les autres ethnies ne sont que des poussières chez eux.

Ce que reconnait d’ailleurs facilement le bams Téguia, qui s’est permis de me contacter car il écrit :
" tu me diras surement que a Dla et un peu partout dans le cmr
les bamis ont envahi,c`est vrai ; mais quand ils decident apres de
rentrer dans leurs villages emportent -ils les investissement
qu`ils ont fait ça et là?ces investissements ne profitent ils pas a tous ? " .
Sans commentaire.

Le bams décide de repartir où ? Il pense plutôt que c’est l’hôte
qui doit partir, et il ne se le cache pas,l`histoire du Cameroun est à un tournant décisif, les ruses de ces gens sont bien connues, ils croient ainsi pourvoir soutirer à un peuple sa légitimité. Vous voyez à quel point ces gens sont malins.
Le bien d’un bami a déjà bénéficié à qui d’autre que lui-même ?
La terre sawa est un Cameroun en miniature, donc une Afrique en miniature, et elle est à l’image de l’Afrique, un peuple étouffé, dont les étrangers se jouent à leur guise, peuple dont le destin repose actuellement entre les mains des gens peu scrupuleux.

Qui se prétend exclus par le système ?

Quand on est marginalisé par un système, par un pays, on l`est vraiment, et on ne le détient pas économiquement, les ruses des bams sont diverses pour répandre une fausse appréciation des événements à l’extérieure des frontières, où ils se plaisent à proclamer qu’ils sont les seuls et uniques forgeurs de cette nation, tandis que les autres sont là pour paresser et détourner l’argent du gouvernement. Le bams se dit seul et unique anticolonialiste, premier à se lever contre les colons alors que les autres on passer le temps à trinquer avec eux. Martin Paul Samba, Douala Manga Bell, Charles Atangana, Le lamido du Nord, le chef Madola, de par leur opposition aux colons, se faisaient exécuter quand on ne songeait même pas encore que le Cameroun serait indépendant.

Trop gourmant pour ne par réclamer la mangeoire suprême, qui doit exclusivement les revenir, et les peuples minoritaires n’ont rien à dire.

Les bams nient leur responsabilité dans la corruption au Cameroun et ne cessent d`accuser les Béti, soit disant au gouvernement, et eux exclus. Et pourtant tous les hommes d`affaire bams sont membres du partie au pouvoir, les députés maires bamis, les présidents d`assemblées ... Foning(il fo lé!!!), Kontchou(zéro mort), Fotso, et avant, Fochivé étaient et sont tous des bams.

La corruption dans un pays est d’abord et avant tout économique, car c’est l’économie qui tient un pays, et un pays multiethnique ne saurait laisser la clé de son destin entre les mains d’une seule ethnie aux aspirations si expansionnistes. Il est par conséquent naturel que celui qui détient l’économie admettent ses responsabilités dans la corruption économique, voire globale du pays, car les courbes d’évolution dues à l’augmentation de nombre de bams dans les terres des autres, de l’augmentation de leur pouvoir économique, et de l’augmentation de la corruption au Cameroun sont beaucoup trop similaire pour qu’on y fasse pas de parallèle.

A l’indépendance du Cameroun, il y avait environ 7 millions d’habitants, (Cf. je connais le Cameroun). Des gens prétendent de façon très crédible que 14 % de la population aurait été massacré ? Voyant que les chiffre étaient peu crédibles, ils on été remis à la baisse. Comme dit le bamileke KONTCHOU KOMEGNI : zero mort !

Si non où est donc la nécropole, où sont les ossements, où sont les cimetières géants, ça ne s’est quand même pas évaporé dans la nature ! Encore une nouvelle stratégie pour faire manger de la boue aux autres. Pourquoi titré un texte Um Nyobè si on veut parler des bams, j’ai demandé une suppression radicale de tout nom bams de ce site !

La brève parenthèse politique :

Le but est uniquement de s’accaparer du pouvoir exécutif, or tous les pouvoirs ne sauraient être entre les mains d’un seul. Ils aiment à dire qu’ils sont interdits de politique, qu’en est il réellement ? Comment expliquer leur soutien massif au RDPC ?


Pour eux temps que le président de la république n`est pas bams, ils sont exclus de la politique, et ce sont uniquement les Béti qui la font ! Dans ce cas les " 296 ethnies du Cameroun " en plus des bams, et exceptés les Béti sont interdits de politique et sont en droit de revendiquer leur place, une place qui ne saurait être donnée au bams seuls.

Les bams sont ils interdit de politique tel qu`il le prétendent ? Il faut d’abord que le président soit un des leurs ? Ainsi se diront ils non exclus ? Et les fameuses 296 ethnies du Cameroun alors ?

Le SDF, parti qui se veux le principal opposant au régime, dont la majorité des adhérents sont bams, car, ils prévoyaient redistribuer les terres aux paysans camerounais, de l’ouest bien entendu, ceci explique en partie le soutien massif des bams à ce parti, leur intérêt étant défendu. Cela fait un bon moment déjà que le dirigeant du SDF a été déchu, la presse camerounaise, assez pro bams, car en partie détenue par eux, est très muette à ce scandaleux problème.


Si l’appartenance ethnique d’un dirigeant ne gêne pas, l’essentiel étant qu’il soit camerounais, pourquoi les bams trouvent ils si dérangeant que le président de la république ne soit pas un des leurs ? Ils veulent faire endosser au gouvernement, qu’ils disent béti, les responsabilités de la corruption, et pourtant ils sont membres de ce gouvernement. Ils emploient impunément le terme d’asphyxie pour décrire la situation dans la quelle leur recherche d’espace vital à mis les peuples de la côte du Cameroun.

Les bams clament haut et fort tout avoir, et disent il, " ce tout doit être mis en œuvre pour permettre aux Bamiléké d’être quelque chose, c’est-à-dire de sortir de sa nullité politique. Il y va de leur survie collective. " Il ne s’agit plus de la survie collective de tous les Camerounais, sans distinction, il ne s’agit plus de protéger les 296 ethnies !

Tant que les noms des présidents ne seront pas TCHAPDJOUO, FONGOUEN, TCHATCHOUNG, NJOUNGSOP, TCHAPTUEU, NKOUANGTCHOUANG, TCHOUAKOUANI, NGEUMATCHOUA, TCHAKOUNTE, KUITCHEU, NDJEUTCHA, TCHOUATEUNE, NTEFAPOUO, TCHAMCTHEU, SINDJOUNG, TCHOMTCHA, NKEUGOUA, NKEULOFACK, KOUNKOUOFACK, KUITCHOUA, NJOUNTSEFOUO … Ils ne seront pas tranquilles.

la parenthèse historique

Rien n`est surprenant aujourd`hui car depuis leur arrivée sur nos terres, ces gens ont toujours manifesté le désir de nous dominer par tous les moyens, allant même jusqu’à des massacres, des trafics de documents, suivons la naissance de la corruption au Cameroun, Ce qu’ils essaient d’occulter aujourd’hui en se faisant passé pour les plus mal aimés de l’univers. On doit à ces derniers le brévet d`invention de la "feymania" reconnu partout dans le monde comme une mode de corruption occulte

Un exemple simple, lorsqu`en 1958 le Ngondo formula une pétition à l`ONU, un bams osa s`opposer au prince Alexandre Ndumb`a Duala Manga Bell alors roi des Bell en ce temps là.
L`auréole ésotérique du Ngondo planait haut sur les actes sawa amplifié chaque année par la terrible fête aux berges du Wouri. Le prince Alexandre Ndumb`a Duala était alors candidat aux élections législatives pour l`assemblée constituante, dans cette mouvance indépendantiste menée de main de maitre par l`upc, le prince a contre lui Tchoumba Ngouankeu Isaac alias " tortue" à la fois commerçant bams bien connu sur la place et soit disant militant du grand mouvement de libération nationale. En sa faveur le titre bien fragile de monarque dans une ethnie minoritaire, l`auréole magique de grand initié et celle de charismatique de fils du grand matyr et dernier roi des bell. Aussi, 4 jours avant la fête du Ngondo se rend t - il chez le King Akwa Betote Ernest alors président du Ngondo.

- Est ce possible que je perde dans ce cameroun? Lui demande-t-il
- Ne t`en fais pas, répond son pair, ils verront bien que le KAMERUN EST NÉ A DUALA !!!

Jamais fête ne fut plus mémorable par l`électricité ambiante, la faveur des adjurations et le poids des rites, et la foule quitta le bord du fleuve, scandant et dansant en procession, un slogan unique, délibérément en pidgin, langage hybride issue d’un mixage raté entre l’Anglais et les langues Africaines
"TCHOUMBA DIE;WE GO GO BENAM" ; et Tchoumba mourut dans les urnes, la magie de la tortue ne joua pas!!! (Même comme les bams sont très rusé)


Il n’est donc pas étonnant de voir à leur actuelle ces gens nier toute faculté de patriotisme et de défense de la nation aux autres peuples, se voulant les seuls et uniques gens habitée par l’envie de se libérer, mais ils sont assez mal intentionné pour user des noms de leurs ennemis, s’infiltrer, afin de mieux contrôler. Contrôler l’autre pour mieux le dominer. Prétendre venir en ami pour éviter les soupçons et la prise de conscience, se prétendre frères, compatriotes pour endormir l’autre. Non, peuple de la côte, ne tombe surtout pas dans ce piège malsain !

Anecdote à propos d’une bams aux Etats-Unis :

Vous avez tous entendu parlé de Ma’lah, une gourou bams qui a fuit aujourd’hui aux States après son dernier meurtre au Cameroun, protégée par ses frères. Et vois avez vu le reportage sur France deux, envoyé spécial, où les hôtels de luxes, gérés par les bams, sont des haut lieux de pédophilie, prostitution enfantine !!! Tout ceci ne se passe pas à l’insu des patrons bams de ces hôtels, du moment que ce sont les enfants des autres ! La honte du Cameroun.

Lisez plutôt cette anecdote.

Une bams vivant aux Etats-Unis, envoie le corps de sa maman au Cameroun… Lourde charge : même les morts ? La racine du la corruption dans son fief et parmi ses initiateurs.

"Une famille était éprouvée car leur mère était décédée aux Etats-
unis. Alors leur soeur "TCHAMBA EUDOXIE, MAGNE pour les intimes " se trouvant là-bas, a envoyé la dépouille mortelle. Mais le cercueil était furieusement plein et lourd. Mais tellement bourré que le visage de leur mère " Ma`a WANSI " touchait la vitre du cercueil au point de déformer son nez, devenu aplati et épaté au contact de la vitre. Quand ils ont ouvert le cercueil, ils ont trouvé une lettre de leur soeur enfouie dans l`épaisse chevelure de la défunte:" Mes chers frères et soeurs, je vous envoie le corps de Ma`a Wansi pour les obsèques à Bazou. Je n`ai pas pu venir car il faut d`abord songer à amortir les dépenses du deuil que j`ai faites ici. Il faut enlever la perruque que Ma`a Wansi porte, c`est human hair made in China, vous a remettez à la femme de Tchamba qui a un salon. Qu`elle vende ça et qu`elle m`envoie ma part sur ça. J`ai mis 40 portables sous le dos de
maman. C`est à remettre au cousin Lekeufack qui travaille à Dubaï
devant MTN akwa. Je ne dois pas rappeler que je veux ma part sur ça. Enlevez le coton qui est dans les narines de maman, la poudre que vous verrez, c`est de la drogue que j`ai acheté dans le bronx, il y en a pour 2 millions minimum. Donnez à mon ancien chaud qui a le casino au quartier de la douche, il a déjà contacté le blanc qui sort avec Majoie, la fille de Mbeu Tchoffo de New-Bell, le cousin de papa. Il y a 6 ordinateurs portables Laptop que j`ai fourré tout le long du cercueil entre la mousse et le tissu de l`intérieur. C`est à mettre pour exploitation dans le cyber-café de Feutcha Blondel, notre beau-frère. Il faut lui faire signer la reconnaissance de dette à hauteur de la valeur de ces ordinateurs, on ne sait jamais, car beau- frère ne veut rien dire en affaires. Il faut beaucoup surveiller qu`il paie ma tontine toutes les semaines avec l`argent que ça va donner. La femme de Lavoisier m`a dit que la lingerie marche bien au pays, j`ai donc ``gainé` maman avec 35 panty grande taille, vous enlevez donc tous les caleçons que je lui ai mis et vous placez ça auprès d`un vendeur de slips. Je sais que la marchandise va vite s`écouler car les femmes sont très grasses. Pour faire vite, vous pouvez même voir `` Il fo lé` avec ça, je suis sûre qu`elle va acheter tout car c`est sa taille XXXLLL. Que personne ne me tente, j`attends ma part sur ça. Je ne veux pas entendre que quelqu`un reste sa chose, sa part
vient. Ce n`est pas parce que je n`ai pas les papiers que je ne peux pas venir au pays réclamer l`argent de ma marchandise. Feutmba, ouvre la bouche de maman, tu enlèves ta part d`argent pour financer ton call-box au quartier Famla à Bafoussam. Je n`ai pas dit que c`est le don, c`est le prêt, tu dois me rembourser avec les intérêts. Kamto, je ne t`ai pas oublié, regarde au niveau des aisselles de maman, j`ai pu mettre des bijoux en plaqué – or. A toi je dis la vérité, mais quand tu vas vendre, tu dis que c`est l`or. Tu connais le refrain, je veux mon argent sur ça. Je ne m`amuse pas, la marchandise va me permettre d`acheter la green-card ici. J`ai déjà vu un haïtien qui est américain qui va faire le mariage blanc avec moi. Aux poignets de maman, il y a 10 montres Rolex, des fausses bien sûr. Vous irez vendre ça aux feymen, ils aiment entendre qu`ils connaissent la griffe alors ne manquez pas de les griffez en bombardant les prix. je ne veux pas entendre que quelqu`un a pris ma chose à crédit, moi je ne suis pas venue aux Etats-Unis à crédit. Si quelqu`un avance l`argent, vous ne remettez pas la marchandise tant qu`il n`a pas tout payé. Je veux mon argent avant la fin du mois. C`est Fotsing qui se
chargera de collecter mon argent auprès de ceux que j`ai chargé de
vendre mes choses. Fotsing, ne me fais pas Wester Union, ça va manger mon argent pour rien. Dès que tu as tout l`argent, tu vas voir Keutcha qui travaille au service étranger à Unity Bank et qui est dans le réseau des faux chèques de voyage délivrés aux demandeurs de visa français, tu le farotes même avec 10.000 f, il va trouver le moyen de me faire un transfert gratuitement sur mon compte ici, il connaît, il m`a déjà aidé dans ce type dentransactions sans que je ne paye. Mais tu prévoies aussi 2.000f pour son collègue, on va faire comment, le droit de l`œil. Si je réussis à avoir les papiers, je viendrai aux funérailles de maman dans 10 ans. "

SANS COMMENTAIRE !

Le bams face l’immigré :

Le Cameroun subit actuellement un immigration d’origine asiatique, qui a été très bénéfique au bams à ces débuts, mais qui ces relations de partenariat semblent s’être muté en rivalité, en concurrence.

Pour chercher une vie meilleure, et étant en recherche d`espace vital, ils viennent chez les sawa, tout comme pour chercher un espace vital, les Chinois envahissent le Cameroun, nous sommes d`accord avec eux qu`il faut mettre fin à cette invasion barbare, fin à toute invasion barbare au XXI ème siècle: jettez un coup d`oeil ici pour voir la réaction des bams face à l`invasion : "que dites vous des nomades chinois au cameroun ?" : http://www.royaumebamoun.com/fr/forum.php?pid=15&wid=2&sort=cat" target="_blank">http://www.royaumebamoun.com/fr/forum.php?pid=15&wid=2&sort=cat

( Bizarrement, avant de poster mon texte au forum, on s’est arrangé à supprimer ce lien dans l’autre forum, pour qu’on ne puisse pas vérifier mes dires !!!!!!!)


" Je parte d`un tout car dans le Noun il y aussi des commerçants mais c`est pelorables ses chinois qui arrivent jour/jour au pays et partout mm d`ailleurs car mm ici en Europe ont les voit partout se taper des boutiques pour vendre des articles imiter autrefois comme les Nigerians j`étais au pays mais c`est un cri d`allarme du coté de Douala car le bamiléké n`a plus parole devant le chinois qui vend trois fois moins cher .
Ne France les enquetes sont lancées pour l`étude des produits chinois et on a constaté en Dècembre qu`ils ne tenaient pas très compte des incidents lors de la fabrication.
C`est une politique purement asiatique de diminuer la population .
Mais si on copiait le modele pas ds ce domaine d`imigration ds biens d`autres on avancerai d`un pouce .
Il y a eu inflation au pays justement parce que les dépenses publiques ont augmenté avec le président qui se tape des voyages par ci par là mobilisant l`avion parfois.
les banques sont vides tout l`argent va en suisse regardez la Suisse alors tout petit pays qu`il soit est bien riche par le simple fait que les banques sont sollicitées .
JE m`excuse d`etre peut sorti du cadre srtictement bamoun mais c`est du cameroun aussi qu`on parle
merci de m`en excuser pour ce qui trouveront déplaisant mon apport. "

La réaction d`un forumiste, Phillipe AWA , le 14.06.05 à 13 h40

" Halte
il serait temps de mettre un olà à cet état de choses c`est des envahisseurs j`en sais sais quelque chose j`ai été étudiante à l`université de jiao tong de shangaî j`en ai souffert!
vous ne pouvez pas vous installer comme celà chez eux qu`ils partent du NOUN!!!!! "

De quoi parlent-ils ensuite ? Puis qu`il sont d`accord avec ce côté : celui chez qui on ne s`installe pas facilement, n`est pas le bienvenu dans les autres terres. Ailleurs, un bams en s`exprimant a admis le caractère suicidaire pour un peuple de subir une immigration non contrôlée, en l`occurrence celle de l`Asie.

Il est bien vrai que l`immigration c`est dans le but de rechercher une vie meilleure, elle doit par conséquent être bénéfique et à l`accueilleur, et à l`accueilli, il doit y avoir équilibre. Mais si elle est fortement prédudiciable aux accueilleurs, en l`occurrence les SAWA, il est plus que légitime qu`ils remettent les choses dans l`ordre. L`invasion du terroir sawa est suicidaire pour ce peuple, sa culture, son avenir, au profit des envahisseurs de tout genre.

Message de fin pour tout sawa aimant son peuple :

Je réitère mon opposition farouche à la soi disant adhésion des bams à notre culture. Les bams doivent comprendre qu’ils ne sont plus les bien venus parmi ont peuple qu’ils ont trahis. Il nous envahissent, et ne s`en cachent pas, en avançant les chiffres de leur augmentation sauvage et incontrôlée chez nous. Il est temps d`agir. Par conséquent des écrits de soutien aux Bams et contre le sawa, quel qu`il soient, n`ont rien à faire ici dans ce site, ils ont leur site pour ça. je répète, qu`ils visitent et qu`ils partent, ils n`ont pas à être membres ici !

Peule sawa, lève toi, prend ton destin en main, et prend conscience du sort que te réserve les vipères que tu héberges en ta terre sacrée, il y va de ta survie collective, tu y as droit toi aussi. Reprend les choses en mains et réapproprie toi ton destin.

Dans l’attente de vos réactions nombreuses, et appelant le webmaster, qui a fait la sourde oreille à mon annonce, de laisser chaque sawa s’exprimer librement sur ce sujet qui nous concerne tous de très prêt.

A vous.

mamy water
Etudiant camerounais de la diaspora
Du village DENE OLI BUSUA
EWODI, NKAM NKAM
SAWA CAMEROUN





Envoyé par:  Mme ETAME GermaineDate:  13.10.2008 [00:02]
A ndom`am, o ben bwam ( absolument d`accord )!
Je me joins à toi, cher frère pour dire "NON" à cette adhésion des
non-sawa dans notre lien ancestral et culturel. Ce n`est guère du
tribalisme, ni du racisme, mais permettez, pour une fois qu`il nous est
donné une magnifique occasion de nous unir à travers le monde entier,
que nous soyons finalement "biso na biso, o teten`a dibambe" (
entre-nous )!



Envoyé par:  Mr Ngome Kangue Date:  04.07.2006 [18:09]
Déclaration des Chefs Supérieurs Sawa du Wouri « sur la sauvegarde de l`identité et de la vie urbain
" De plus en plus, les citadins de Douala observent avec une grande préoccupation la récurrence de dangereux phénomènes qui menacent à la fois l`identité traditionnelle et la vie urbaine dans la capitale économique, ainsi que l`autorité publique.

Certains compatriotes, mus par des attitudes notoirement irresponsables, ont entrepris de contester manifestement et, parfois, violemment l`expression de l`autorité traditionnelle locale dans son espace naturel. Le quartier Bonatéki (Deïdo) en a été le théâtre le 6 mars dernier; au cours de l`installation perturbée et ... avortée d`un notable en présence de l`autorité préfectorale.

Par ailleurs, notre Ville devient, chaque jour un peu plus, la scène d`opérations concertées de paralysie ourdies par des usagers prétendant exprimer leur colère. A deux reprises, le 9 juillet 2003 et, tout récemment, le 20 mars 2004, le Pont du Wouri, notre patrimoine à tous, en a fait les frais avec les conséquences incalculables sur la circulation des personnes et des biens.

A Douala, comme partout, la libre implantation des compatriotes de tous horizons est un indiscutable enrichissement.

Dans la cité portuaire, qui s`honore d`une séculaire tradition hospitalière et d`intégration, cette implantation ne saurait en aucun cas devenir synonyme de la négation et du bafouement de notre identité et de notre organisation ancestrale propres, comme il en existe dans chaque région du Cameroun.

Nous, nos fils, petits-fils et arrières petits-fils n`accepteront en aucun cas la profanation du riche héritage que nos ancêtres ont patiemment bâti et légué.

De même, aucune revendication, fût-elle légitime, ne saurait justifier la banalisation de l`usage de la violence, de la force, du fait accompli et les tentatives hégémoniques des uns.

Nous, nos fils, petits-fils et arrières petits-fils, ainsi que tous les compatriotes, fort nombreux qui aiment cette Ville et ont choisi de s`y réaliser paisiblement, ne laisseront à aucun individu, à aucun groupe la latitude de se servir de Douala comme champ d`exercice de ses propres visées.

L`indispensable et irréversible communauté de destin dans cette belle cité appelle immanquablement le respect de tous envers tous.

L`ordre et la paix dans cette prestigieuse Ville sont si précieux et ... si fragiles.

Il est de notre devoir historique à tous de les protéger, jalousement.

À tous les prix».

Fait à Douala, le 30 mars 2004

Les Chefs Supérieurs Sawa du Wouri

Ont signé :
- S. M. Paul Milord MBAPPE BWANGA, Chef Supérieur du Canton Bele Bele
- S. M. Salomon MADIBA SONGUE, Chef Supérieur du Canton Bakoko-Wouri
- S. M. DIN DIKA AKWA III, Chef Supérieur du Canton Akwa
- S.A.R. le Prince René DOUALLA MANGA BELL, Chef Supérieur du Canton Bell
- Le Chef Jérémie BEYISSA EBOUM, Représentant de la Chefferie Supérieure du
Canton Bassa-Wouri



Envoyé par:  Mr Ngome Kangue Date:  04.07.2006 [17:58]
L’installation d’un notable perturbée par des manifestants
C’était le 6 mars 2004 à Bonatéki-DEIDO. Le Chef du village, M. Pascal EKABOUMA MBEDI, devait introniser (en présence du Sous-Préfet de Douala 1er), le Colonel Liberté MOUMI MBEDI à la dignité traditionnelle de notable du quartier Grand Moulin (Bonatéki-Est). Les invités furent surpris par la violence d’une horde de manifestants, habitants du quartier, qui a envahi les lieux aux fins d’empêcher la tenue de la cérémonie provoquant la débandade des uns et des autres. Motif : ces habitants, d’origine non sawa, ne reconnaissent pas l’autorité dans leur quartier du notable appelé à être installé ce jour là. Ils ont invité, pour les jours suivants, les participants à l’installation de leur propre notable.


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