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VIP News |
Retour d’un puriste du makossa
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Depuis son dernier succès " Mambo Penya " dans les années 80, Bell’A Njoh et sa voix grave cherchent toujours à reconquérir un public camerounais réputé très versatile.
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Depuis son dernier succès " Mambo Penya " dans les années 80, Bell’A Njoh et sa voix grave cherchent toujours à reconquérir un public camerounais réputé très versatile. Surtout dans un contexte où un genre de makossa imposé par le chanteur Petit-Pays a tendance à tout dévorer, avec l’accord du public. Résultat : on a beau faire des efforts pour rester proche du style des pères fondateurs, le succès n’est pas garanti. C’est le cas avec ce nouveau disque très entraînant. En écoutant les chansons de " Ton amour me tue ", on se dit que Bell’ A Njoh a plutôt bien résisté aux influences actuelles. Et c’est un peu normal pour un vieux briscard. Mais il faut bien se résoudre à constater que ce n’est pas ce qui, commercialement se fait de mieux. L’artiste le sait bien. Et s’il a décidé de rester fidèle, ce n’est pas uniquement parce qu’il est dépositaire de la tradition sawa. Le makossa pur a encore son public. Et après tout, l’essentiel pour tout le monde, n’est pas de vendre des milliers de copies et s’enrichir. Tout en perdant son identité…
Bell’ A Njoh, Ton amour me tue, Editions Moussa Haïssam, 2005, 10 titres.
Nelle Eyoum
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Manu Dibango - Biographie
Soul et Makossa. Résumée en deux mots, naissait à l`aube des années 70, la "world music". Pour la première fois l`Afrique, sous la forme du makossa camerounais, pointait son nez dans la soul, héritière du jazz et du rythm`n blues....
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RELIGION OU COLONIALISME ? par Ruben UM NYOBE
© Peuples Noirs Peuples Africains no. 10 (1979) 55-65 - La religion doit fixer les premiers regards sur l`administration. C`est surtout par le fait qu`elle impose que peuvent être contenus les esclaves... Nécessaire à tous les hommes elle n`a plus...
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