Downloads   Galeries   Forums   Audios   Vidéos   Liens   Livre d´or   Partenaires   Contact   
  Accueil
  Actualité
  Régions/Peuples
  Historique
  Sawanité
  Le Ngondo
  Tourisme
  Littérature
  VIP
  F.A.Q
  Agendas
  Evénements
  Annonces
  Projets
  Communauté



      


“Things fall apart” Chinua Achebe

 
l`œuvre africaine la plus universellement reconnue. Anti-colonial African literature like Achebe`s Things Fall Apart tended to impute African society`s problems to color prejudice rather than class conflict.


Littérature : La prose ethique de “Things fall apart”

Ce livre de Chinua Acheba, même s´il n´a pas eu les palmes qu´il mérite dans sa traduction française, n´en demeure pas moins l´œuvre africaine la plus universellement reconnue.
Par Patrice Nganang

Dans le tome récent de ses mémoires d´écrivain, You Must set Forth at Dawn, Wole Soyinka, premier, et jusqu´ici seul prix Nobel de littérature d´Afrique noire, ultime géant de la littérature du continent, s´il en est encore, fait un aveu très remarquable. En Israël où il se trouve, il est soudain interpellé dans la rue par des soldats ghanéens de l´Onu qui reconnaissent sa célèbre tignasse. Coïncidence des coïncidences, l´un d´eux est en train de lire ses poèmes! Et l´écrivain de souligner humblement: “La plupart du temps, c´est plutôt Things fall apart de Chinua Achebe que les gens lisent !” Il n´est pas aveu plus clair, je crois, de la dimension de reconnaissance d´un livre, de son inscription dans la conscience africaine donc, que lorsqu´elle vient d´un auteur qui pendant cinquante ans a été opposé dans sa vision de l´écriture et du rôle de l´écrivain, à Chinua Achebe. Or dans la même lancée, demandez à un lecteur indien, néerlandais, américain, japonais, allemand, c´est-à-dire donc à un lecteur lambda, quel livre de littérature africaine il a lu, et sans aucun doute, sans nul doute, ce sera toujours ce premier roman de Chinua Achebe. C´est que Things fall apart, même s´il n´a pas eu les palmes qu´il mérite dans sa traduction française, éditée jadis chez Présence Africaine, les lecteurs africains d´expression française ayant, je dirai, plutôt une communauté de formation et de sentiment similaire avec L´enfant noir de Camara Laye, n´en demeure pas moins l´œuvre africaine la plus universellement reconnue, et avec ses plus de douze millions de lecteurs et traductions en cinquante langues, la plus lue d´ailleurs.

C´est simple, il n´y a pas de roman africain, il n´y a pas d´œuvre littéraire africaine, ou noire, dont le cinquantième anniversaire de la publication puisse être un évènement littéraire ! Hosties noires de notre cher Senghor ? Non. Le Cahier d´un retour au pays natal de Césaire ? Hum. Mission terminée de Mongo Beti ? Nada. Or l´évènement de ce ´premier roman africain´, comme Things fall apart est appelé faussement, vient du fait d´abord de la position de ce livre en tant qu´institution littéraire. Et c´est-à-dire, parce que situé au commencement de la prose africaine, qu´il a porté sur ses épaules en sa manière, avec la légendaire ´African Writers Series´ de Heinemann qu´il a introduit, et que les éditeurs français n´ont cessé d´imiter (´Encres noirs´ chez l´Harmattan; ´Continents noirs´ chez Gallimard, etc., etc.) sans en jamais atteindre la dimension pragmatiquement éducative, en même temps qu´internationalement significative. Quel auteur africain de renom n´a pas été publié en anglais, c´est-à-dire n´a pas trouvé un public vraiment international, dans l´AWS, avant qu´elle ne se saborde comme c´est le cas aujourd´hui?

De Léopold Sédar Senghor, Sembène Ousmane, Nadine Gordimer, à Mongo Beti, de Wole Soyinka, Dambudzo Marechera, Ferdinand Oyono, aux plus récents, Yvonne Vera, Véronique Tadjo, Calixthe Beyala, qui n´y est pas passé ? Inaugurant donc un système de la publication qui unissait des lecteurs volontaires, qui donc achètent des livres de leur choix dans des librairies de Melbourne, de Calcutta ou de Berlin, à des élèves de Kampala, Johannesburg ou alors de Lagos, qui lisent les livres plutôt parce que ceux-ci sont inscrits dans leur programme scolaire, le roman Things fall apart a rendu possible une institution littéraire qui pendant près de cinquante ans a inscrit, par choix donc et par force aussi, ce livre dans la conscience de millions, et introduit au monde entier une prose spécifiquement africaine.

Toute institution littéraire n´est importante pour l´écriture qu´à la force de la tradition dont elle porte la naissance. Ainsi à côté des lecteurs africains qui auront lu l´histoire d´Okonkwo à l´âge où ils écrivent leurs premières dissertations, très nombreux ils sont, les auteurs, qui ont trouvé leur sens de la prose en lisant le Things fall apart de Chinua Achebe. A commencer par Ngugi wa Thiong´o, l´on pourrait citer Ama Ata Aidoo, Tsitsi Dangarembga, Marechera, sans parler de Ben Okri, et donc de Chris Abani, Chimamanda Adichie. Ils sont très peu nombreux, vraiment, les prosateurs africains dont la plume ne s´est pas déliée au contact de la phrase transparente d´Achebe. Et cela veut dire que la naissance de l´écriture africaine aura eu lieu, soit parce que ces auteurs-là auront décidé de rester fidèles au chemin mimétique tracé par lui, même si en le poussant jusque dans ses insoupçonnables extrêmes, ou alors parce qu´ils auront choisi de se différencier de lui, par exemple en continuant plutôt la déconstruction de la langue et de la narration qu´aura inauguré The Palmwine drinkard d´Amos Tutuola, publié avant Things fall apart, chemin dont l´origine se trouve en fait chez Fagunwa.

Qui prend l´histoire de la prose africaine, et surtout le roman africain, au sérieux, ne commence pas son histoire avec la négritude, qui était surtout et avant tout poétique. De ce point de vue, l´on peut facilement dire qu´il y a deux traditions africaines de la prose, une, ´postmoderniste´, qui après Amos Tutuola est continuée aujourd´hui surtout par la mode du roman des détritus, (Okara, Saro-Wiwa, Iweala, Waberi, Labou Tansi, Mabanckou, etc.), et qui n´a été inaugurée qu´en 1968 en français par les ´malenkismes´ d´Ahmadou Kourouma ; et une autre qui, suivant les chemins tracés par Chinua Achebe, demeure, disons, classique, et c´est-à-dire, ´moderniste´. Ce côté fondateur d´une tradition moderniste de la prose africaine, Things fall apart le partage avec quelques rares ouvrages, de très rares vraiment, L´enfant noir pour les francophones peut-être, parce qu´il aura toujours donné à chacun de ses lecteurs, quand ils sont jeunes écrivains encore, l´illusion qu´un style transparent est simple, et donc facilement imitable.

´Okonkwo was well known throughout the nine villages and even beyond´ ; voilà une phrase bien callée et donc éternelle, qui cependant aura marqué l´écriture de Chinua Achebe comme étant imitable à souhait. C´est que le style de Things fall apart n´est pas seulement inscrit dans un agencement méthodique et maitrisé des mots, dans cela donc qu´on a appelé son classicisme, c´est-à-dire dans l´application de règles dictées par un canon que l´on définit à partir d´une tradition littéraire établie d´avance : la culture Igbo. Il est aussi inscrit dans une restitution transparente d´un réel qui est en soit secoué par les tragédies de l´histoire. Et c´est de ce point de vue que cette prose est de facture réaliste. Mais le style d´Achebe est surtout, et avant tout d´ailleurs, marqué par une éthique du respect de la chose décrite, et de l´histoire dite.
C´est cela qui d´ailleurs le différencie par exemple de la prose d´un Senghor dont même les essais sont plutôt célébration, de celle de Sembène Ousmane qui est idéologisée parfois trop vite, et parfois aussi trop schématique pour demeurer littéraire, ou alors du style de notre national Mongo Beti, qui est sarcasme dans les essais et ironique, bref, iconoclaste dans les romans.

C´est-à-dire que la phrase romanesque de Chinua Achebe est fondée sur une éthique de la restitution du réel, qui ne peut venir que du respect que le romancier a envers les choses les plus petites de la vie, comme les plus grandes ; du respect qu´il a du mythe des obandje, des miak nkoua, comme on dirait chez les Medumba, tout comme pour la manière qu´a une femme d´attacher son pagne sous l´aisselle, ou de tenir ses seins pour mieux courir. Il n´est pas plus pour rendre une œuvre universelle, car les gestes de la vie quotidienne sont les mêmes sur toute la terre ! Et ceux qui comme moi ont entendu Chinua Achebe lire des extraits de son Things fall apart savent, oui, ils savent qu´avant tout c´est la parole parcimonieuse de leur père qu´ils ont entendue. Car c´est à cause du respect avec lequel la phrase de cet auteur nigérian emballe la réalité africaine et la déballe au lecteur, qu´il est devenu très tôt le ´père de la littérature africaine´.
Le magistère de Chinua Achebe vient, pas seulement du fait qu´il ait lui-même théorisé l´auteur africain comme professeur, mais du fait que la tragédie qu´il n´a cessé de raconter depuis Things fall apart, c´est la colonisation, cet accident si important de l´histoire africaine, dont la logique plus que tout était inscrite dans l´irrespect : l´irrespect de la réalité africaine ; l´irrespect des mythes africains ; l´irrespect de la parole africaine ; l´irrespect de l´histoire africaine ; l´irrespect même de la personne africaine.

Ce paradigme colonial de l´irrespect de l´Africain que nos parents ont vécu a eu des conséquences dramatiques que l´on sait, du génocide culturel au génocide humain, qui s´est cependant traduit, bien des fois, en littérature, par d´une part un certain grelottement de l´auteur africain devant l´immensité de la bibliothèque universelle, et d´autre part, par un étonnant manque de confiance de ce dernier devant les méandres du quotidien de son continent. Or cette histoire d´Okonkwo qui secoua son tout petit village n´a pas seulement la dimension de la tragédie la plus classique, d´Eschyle ou de Sophocle, de Shakespeare ou de Goethe, de Proust ou de Brecht, elle est aussi racontée de cette manière qui arracherait le cœur à tout le monde, parce que le style de l´auteur est fondé sur le plus profond respect pour son personnage qu´il sait criminel, et pour le monde de ce dernier qu´il sait pourtant condamné.

Parce que prise au sérieux en premier par l´auteur qui l´écrit, l´histoire d´Okonkwo résonne du Japon en Australie, de Paris à Los Angeles, et multiplie ces témoignages d´écoliers et étudiants africains, comme de femmes de ménage croates ou de professeurs d´université anglais, et camerounais, que Chinua Achebe sait si bien communiquer durant ses rares lectures publiques ! Il n´est pas plus grande leçon pour des auteurs, encore plus certainement pour ceux qui écrivent aujourd´hui, et croient de plus en plus qu´il faut qu´une histoire se passe à Paris ou alors à Londres pour valoir la peine ; que donc l´histoire d´un père de famille de Ngoulemakong - ou alors de Tsinga - dont la mairie vient de casser la maison, n´est pas tragique, bref, n´a pas de lieu dans la littérature mondiale. C´est qu´avec Things fall apart, Chinua Achebe nous montre que le plus petit coin de la planète est le témoin de l´univers ; et que dans l´histoire la plus humble, résonne les tragédies du monde ! Comment donc ne pas célébrer tel livre cinquante ans après sa parution?

==========================

Things Fall Apart is a 1958 English-language novel by Nigerian author Chinua Achebe. It is a staple book in schools throughout Africa and widely read and studied in English-speaking countries around the world. It is seen as the archetypal modern African novel in English, and one of the first African novels written in English to receive global critical acclaim. The title of the novel comes from William Butler Yeats´ poem "The Second Coming".[1]

The novel concerns the life of Okonkwo, a leader and local wrestling champion throughout the nine, fictional, villages of the Igbo ethnic group of Umuofia in Nigeria, his three wives, his children (mainly concerning his oldest son Nwoye and his favorite daughter Ezinma), and the influences of British colonialism and Christian missionaries on his traditional Igbo (archaically spelled "Ibo") community during an unspecified time in the late nineteenth or early twentieth century.

Things Fall Apart was followed by a sequel, No Longer at Ease (1960), originally written as the second part of a larger work together with Things Fall Apart, and Arrow of God (1964), on a similar subject. Achebe states that his two later novels, A Man of the People (1966) and Anthills of the Savannah (1987), while not featuring Okonkwo´s descendants and set in completely fictional African countries, are spiritual successors to the previous novels in chronicling African history.


The bulk of the novel takes place in Umuofia, a clan encompassing nine villages on the lower River Niger. Umuofia is a powerful clan, skilled in war and with a great population, with proud traditions and advanced social institutions.

Okonkwo has risen from nothing to a high position. His father, a lazy flute-player named Unoka, was skilled in the art of conversation, but was an unsuccessful man with no regard for material wealth. Through hard work, Okonkwo has risen to a highly regarded position in his society, showing himself to be skilled in battle and earning several titles. He is also a champion wrestler. He has taken three wives, has several children, and has built substantial wealth through his farming of yams, the staple crop of his village. He rules his family with a firm hand and an overbearing demeanor, struggling to demonstrate that he does not have the laziness and weakness that characterized his father. One day, a neighboring clan commits an offense against Umuofia. To avoid war, a bargain is struck that involves the offending clan releasing to Umuofia a boy, whose name is Ikemefuna, to be sacrificed to the gods, but not immediately. He lives in Umuofia with Okonkwo´s family for three years. He almost becomes a part of Okonkwo´s family. In particular, Nwoye, Okonkwo´s oldest son, loves Ikemefuna like a brother. But eventually the Oracle calls for the boy´s death, and a group of men take Ikemefuna away to complete the sacrifice. Okonkwo, fearful of being perceived as soft-hearted and weak, participates in the boy´s death, despite the advice of the clan elders.

Okonkwo is shaken by this event, but he continues with his drive to become a lord of his clan. He is constantly disappointed by Nwoye, but he has great love for his daughter Ezinma, his child by his second wife Ekwefi. Ekwefi bore nine children, but only Ezinma has survived. Ekwefi loves the girl fiercely. Ezinma is sickly, and sometimes Ekwefi fears that Ezinma, too, will die. Late one night, the powerful Oracle of Umuofia brings Ezinma with her for a spiritual encounter with the earth goddess. Terrified, Ekwefi follows the Oracle at a distance, fearing harm might come to her child. Okonkwo follows, too. Later, during a funeral for one of the great men of the clan, Oknokwo´s gun explodes, killing the son of the buried man. In accordance with Umuofia´s law, Okonkwo and his family are exiled to Okonkwo´s mother´s home village of Mbanta for seven years.

During Okonkwo´s exile, the white man arrives in both Umuofia and Mbanta. Mr. Brown, a missionary, begins winning converts to Christianity, though generally these are only outcasts or men of low rank. However, with time, the new religion gains momentum. Nwoye becomes a convert after realizing that the new religion will provide him a remedy for the death of Ikemefuna and the twin children who are killed as part of tribe´s culture. When Okonkwo learns of Nwoye´s conversion, he beats the boy. Nwoye leaves home.

Okonkwo returns to Umuofia to find the clan sadly changed. The church has won some converts, some of whom are fanatical and disrespectful of clan custom. Worse, the white man´s government has come to Umuofia. The clan is no longer free to judge its own; a District Commissioner, backed by armed power, judges cases in ignorance.

During a religious gathering, a convert unmasks one of the clan spirits. The offense is grave, and in response the clan decides that the church will no longer be allowed in Umuofia. They burn the building down. Soon afterward, the District Commissioner asks the leaders of the clan, Okonkwo among them, to go and see him for a peaceful meeting. The leaders arrive, and are quickly seized. In prison, they are humiliated and beaten, and they are held until the clan pays a heavy fine.

After the release of the men, the clan calls a meeting to decide whether they will fight or try to live peacefully with the white people. Okonkwo wants war. During the meeting, court messengers arrive to order the men to break up their gathering. The clan meetings are the heart of Umuofia´s government; all decisions are reached democratically, and an interference with this institution means the end of the last vestiges of Umuofia´s independence. Enraged, Okonkwo decapitates one of the messengers. The others escape, and because the other people of his clan did not seize them, Okonkwo knows that they will not choose war. Embittered and grieving for the destruction of his clan´s independence, and fearing the humiliation of dying under white law, Okonkwo returns home and hangs himself, which is seen as weak and as an attack against nature, so much so that others from Umuofia cannot touch his body.

The District Commissioner and his messengers arrive at Umuofia to see Okonkwo dead, and are asked to take down his body since Ibo mores forbid clan members to do this. The Commissioner plans to write a book about his experiences dealing with undignified behavior in the area, titled The Pacification of the Primitive Tribes of the Lower Niger, which might include a small section about Okonkwo.


Culture in Umuofia is far different from culture in the western world, especially in terms of religion. Previous to the arrival of Christianity in Part Two, much of the novel deals with the characters´ polytheistic religion, consisting of many gods under one commanding god. Various gods control natural phenomena such as rain, harvest, and childbearing.

Religion consists of worshipping a combination of ancestors, spirits, and a god, Chukwu. The religion contains animistic aspects that are common to other ancient religions such as those in Mesopotamia. The people consult with Oracles which give them instructions for daily life. The religion is very ritualistic, and not as concerned with morality as modern religions today. In Umuofia, morality is largely decided through tribal traditions and verbal sayings.

The society of Umoufia is patriarchal (males are the dominant gender). In fact, to not have power over one´s wife is to be considered weak or effeminate. Self-sufficiency and hard work are also highly praised as an attribute to the male dominance. Such can be seen in Onkwonko’s growing of a yam farm from a young age with little materials to start with. His father, being somewhat lazy did not keep up with a yam farm and was considered weak and quite worthless even by his own son.

Strength and courage are also viewed as valuable traits; in that culture, a man who is weak is not a man at all. When Ikemefuna cries out to Okonkwo as he is about to be murdered, Okonkwo finishes the deed to show his masculinity. He also displays these traits in his wrestling matches and tribal wars in which he is the leader.


Compiled and edited by Brother Metusala Dikobe

 DANS LA MEME RUBRIQUE
PANAFRICANISME: l´Agenda
Le concept de Renaissance convoqué est de dimension civilisationnelle, au sens où ses variables sont simultanément comportementales, structurelles, infrastructurelles, individuelles, collectives, politiques, économiques, géostratégiques, socio-humain...

CRITIQUES - Colonisation - White Supremacy -
Ecrits - Articles - Documents
Sam Ekoka Ewandè et S. Kala-Lobè et Autres...

Le Paradis Tabou - Autopsie d´une culture assassinée - Ebele Wei ( Valère EPEE)
LE PARADIS TABOU dont les résonances du titre évoqueraient volontiers une œuvre de fiction, est un ouvrage de recherche destiné à initier les jeunes générations à l`incroyable richesse d`une civilisation éclose au fond du Golfe de Guinée au 16è s....

Paupérisation et développement en Afrique. Par Engelbert Mveng.
Des chefs d`États, des hommes politiques, devenus mendiants, sont vite transformés en marionnettes ou en toupies entre les mains des manipulateurs invisibles qui font tourner le monde....

Le procès du Roi Rudolph Douala Manga Bell Martyr de la Liberté - Joel KONDO
Le travail que nous allons faire aujourd´hui devra être gravé à tout jamais dans le cœur de nos enfants, afin qu´ils connaissent et maîtrisent parfaitement les coutumes de chez nous, afin que nul n´oublie ces deux héros...

"Mongo Beti parle", testament d´un esprit rebelle: entretiens avec Ambroise Kom
Le patron se lève le matin, on lui montre le porc-épic qu`on va lui préparer pendant qu`il mange son petit déjeuner. Après, il joue au songo, il boit, il joue au songo, il boit. A midi, il se bourre de viande comme Louis XIV. Il a un régime dégueulas...

Innovations sociales et renaissance de l´Afrique Noire
Jean-Marc ELA a publié de nombreux ouvrages. Il a longtemps enseigné à l`Université de Yaoundé (Cameroun) et comme professeur invité à l`Université catholique de Louvain-La-Neuve (Belgique). En 1997, il a été le directeur de l`Institut du CODESRIA su...

de DOUALA à DOUALA
Recueil et Extraits de quelques références Bibliographiques
© douala-net.info...

"The United Independent Compensatory Code: A Text Book/Work Book for Victims of Racism/White Supremacy. (1969)". "The Code." Neely Fuller Jr.
"If you do not understand White Supremacy (Racism)-what it is, and how it works-everything else that you understand will only confuse you". Neely Fuller Jr....

The Isis Papers: The Keys to the Colors
... the first global power system of mass oppression is the power system of racism (white supremacy). Once the collective victim (non-white population) understands this fundamental issue, the ultimate organizing of all of the appropriate behaviors ne...

   0 |  1 |  2 |  3 |  4 |      ... >|



Jumeaux Masao "Ngondo"

Remember Moamar Kadhafi

LIVING CHAINS OF COLONISATION






© Peuplesawa.com 2007 | WEB Technology : BN-iCOM by Biangue Networks