Downloads   Galeries   Forums   Audios   Vidéos   Liens   Livre d´or   Partenaires   Contact   
  Accueil
  Actualité
  Régions/Peuples
  Historique
  Sawanité
  Le Ngondo
  Tourisme
  Littérature
  VIP
  F.A.Q
  Agendas
  Evénements
  Annonces
  Projets
  Communauté



      


Honte à la “ France-Afrique ” Par Charles Moukouri Dina Manga Bell

 
Août 1958 général De Gaulle déclara à Sekou Toure et Bakary Djibo: "On ne peut concevoir un "territoire" indépendant et une France qui continuerait de l’aider ; le gouvernement tirera les conséquences économiques et autres que comporterait la manifes


N’est-il pas vrai que l’Afrique a mieux à faire pour son développement et son épanouissement que de s’acoquiner inutilement partout avec des subterfuges néo-coloniaux de la France de M. Chirac et autres ?
Honnêtement, je dois dire également qu’il est fort regrettable et insupportable pour nous, que certains Africains continuent à croire que la France demeure l’Alpha et l’Omega pour l’Afrique.
Qu’à cela ne tienne, nous avons assez parlé ; longtemps tergiversé sur les relations franco-africaines sans qu’ait eût lieu, le moindre début de réponse (positive) aux différentes attentes et préoccupations de nos peuples meurtris et appauvris.
Pourtant, nul n’ignore que c’est à partir d’août 1958 que la France du général De Gaulle a confectionné des habits diplomatiques spéciaux pour l’Afrique lorsque, dans ses envolées lyriques habituelles et tranchantes, il déclara vertement à l’adresse de Sekou Toure et Bakary Djibo (sur le conseil d’Houphouet Boigny) :

"On ne peut concevoir un "territoire" indépendant et une France qui continuerait de l’aider ; le gouvernement tirera les conséquences économiques et autres que comporterait la manifestation d’une telle volonté".
Dès lors, ce fut le cycle officieux du chantage officiel de la France à l’endroit de ses colonies tentées par l’indépendance ; en effet, ce fut l’expression menaçante la plus expressive et la plus déterminée de la politique extérieure africaine de la France ; mais ce fut aussi le premier confectionnement du "Moule dogmatique" de dissuasion, d’enfermement et de prise en otage diplomatique des peuples africains en lutte pour se libérer et se décoloniser.

"France-Afrique" me fait penser à la "Communauté française" voulue par la France du général De Gaulle et pour cause"…

Rappel triste et poignant pour des hommes de ma génération qui ne cessent dans leur mémoire de se souvenir des "wagons plombés" destinés à la résistance des patriotes camerounais et particulièrement ceux de "l’Union des Populations du Cameroun" (Upc) avec Um Nyobe.

Hier encore, cette "France coloniale" organisait en terre guinéenne de Sekou Toure l’arbitraire et le chantage le plus atroce de la colonisation africaine. D’ailleurs, elle continue paradoxalement de nos jours, par l’appui au régime terroriste de Lansana Conté.
Aujourd’hui, malgré la nouvelle appellation de cette "Communauté française" tant souhaitée par nos maîtres de l’époque, "France-Afrique" n’a rien apporté de nouveau et de solide sous les cieux d’Afrique ; sauf peut-être, la rébellion (des bandits) de "Soro" d’un côté ; et de l’autre, la pleine lucidité, le courage, la détermination et le patriotisme du grand peuple ivoirien qu’incarne le "Front populaire Ivoirien" (Fpi) de Laurent Gbagbo en incrustant dans nos consciences, la nécessité de nous libérer et de nous débarrasser une fois pour toutes, de la domination coloniale française…
Avec regret, je constate par ailleurs que, suite à la fermeté et à la clarté des propos blessants du général De Gaulle à notre endroit, nos responsables politiques n’aient eu une réelle riposte, tout au moins, une remise en question de cette forme de vassalisation appelée "Coopération technique française". Qu’en aucun moment, malgré l’orgueil et le patriotisme de nos dirigeants, ils n’aient senti l’urgence de scruter la "pensée coloniale" qui convoie les concepts magiques "d’Aide" et de "Démocratie" ; deux nébuleuses commerciales de la Sainte Famille impérialiste ; deux superbes pièges à cons dont se sert l’Occident pour nous emballer dans sa duperie.
Deux ustensiles hautement performants (Aide et Démocratie) qu’utilise la "Coopération française" de "France-Afrique" afin de nous "fourguer" ses rebuts intellectuels, technologiques, ainsi que l’obsolescence théorique des institutions financières internationales. Deux concepts forts de la politique française de la Francophonie francophone ; deux approches burlesques et mesquines de recolonisation, de condescendance et de domination faites pour soumettre nos peuples et y implanter l’anarchie institutionnelle sous le vocable de "Libéralisme". A cela, retenons que "France-Afrique" ou "Francophonie" utilisent les mêmes concepts (Aide et Démocratie) à la manière d’un stratus pour voiler l’outrage fait à l’intelligence de l’oralité africaine.
En effet, ces valeurs importées dites "scientifiques" qui, néanmoins, accablent injustement "l’ancestralisme" de nos régions, détruisent l’éthique en faisant de nous des "prostitués" non consentants ; des esclaves et des otages volontaires d’un humanisme que nous haïssons mais que nous ne cessons cependant d’admirer et de protéger à la fois…
C’est ainsi que (par exemple) nous dénonçons la "Coopération technique et scientifique" qui viole et vole notre "propriété intellectuelle" sans l’interrompre ; sachant toutefois qu’à travers ses programmes, les multinationales occidentales espionnent et recensent nos ressources génétiques bio-médicales ; après quoi, celles-ci nous reviennent sous forme de nouvelles pharmacopées avec le label "made in France" ou "made in England"…
"Aide" et "Démocratie", deux notions fétiches et maléfiques qui ont conduit le Cameroun dès 1986 à vivre l’impasse d’une "crise" majeure de dérèglement et d’endettement, sous prétexte d’ajustements structurels vantés par les promoteurs du Fmi, de la Banque mondiale et du Club de Paris. En clair, c’est pour expliquer que là où se trouvent les institutions de Bretton Woods, c’est aussi là où fleurissent et prospèrent "l’Aide" et la "Démocratie" avec leur contingent de magouilles, de corruption et de criminalité…
Formule parrainée en Côte d’Ivoire par la France coloniale avec les mêmes institutions financières internationales afin, prétendent-elles, de restructurer la filière café-cacao ; malheureusement, usant d’un barbarisme linguistique appelée : "Facilité d’Ajustement Structurelle Renforcée" (Fasr) qui, en réalité ne veut rien dire sauf un tour de "passe-passe" pour extorquer la plus-value économique de ce pays dans le domaine des matières premières. Des mécanismes agressifs de détournement des fonds, créés à la hâte afin de parfaire le "cercle vicieux" des maîtres des économies du Tiers-monde.
Aujourd’hui, "France-Afrique" nous offre l’ultime occasion de pouvoir dire halte ! Halte à cette "danse" vaudoue, éclectique et ensorcelée ; danse macabre et mortelle parce que faite de pas endiablés "d’Aides" et de "Démocratie" pour mieux nous envoûter, embrouiller nos consciences et enfin psalmodier le culte aztèque de la France colonialiste…
"France-Afrique", une approche sympathique de type voyou ; retors et impérialiste ; issue de la "Pensée Libérale" sans contours ni mesures ; hors règles et réglementations ; usant et offrant parcimonieusement, à la tête du "client", sa coopération crapuleuse d’Aides et de Démocratie. Tout, dans "France-Afrique" est fait pour épater, éblouir, aveugler, aliéner puis assagir ; humilier, domestiquer pour mieux exploiter le "nègre" naïf d’Afrique. Aujourd’hui, accepter "France-Afrique", c’est légitimer et institutionnaliser la "Rente coloniale" française en Afrique et pour toujours. C’est pourquoi, je m’autorise à dire plutôt que c’est le Sud qui "Aide" le Nord et non l’inverse…
Par conséquent, l’Afrique a l’ultime devoir d’engagement à se débarrasser et de s’affranchir impérativement de tous ces accessoires encombrants de particularismes coloniaux, inutiles et, au demeurant, dangereux et immoraux qui fabriquent à cycles réguliers renouvelés, des promotions curieuses d’une espèce de "noirs en pantalons" très prisée par la France de M. Sarkozy.
Au lieu de pleurnicher, de se lamenter sur le volume de l’endettement ou d’abandonner notre dignité et notre souveraineté, nos chefs d’Etat devraient plutôt s’attarder à la bonne compréhension des concepts "Aide" et "Démocratie" dans ses volets de coopération bilatérale et internationale. S’inquiéter comme il se doit de savoir précisément ce que recouvrent ces deux concepts en politique générale ou en politique de développement.
Est-ce à dire que les notions "d’Aide" et de "Démocratie" ont la même consonance et les mêmes valeurs en Afrique qu’en Occident ? Au cas contraire, pourquoi donc continuer à quémander ces "Aides-Dettes" qui nous suffoquent et nous paralysent ?

N’y a-t-il pas un seul Chef d’Etat Africain, (surtout ceux qui aspirent à la présidence à vie) pour dire à ces "Blancs" que la Démocratie (in extenso) en Afrique est incompatible avec l’"Ancestralisme" de chez nous ?
En réalité, il s’agit tout simplement d’artifices intellectuels ; deux notions attrape-nigaud qu’utilise l’impérialisme international pour asseoir sa domination et son exploitation inhumaine dans le Tiers-monde.
Hier, ce fut le cas avec le partage et le pillage de l’Afrique selon la conférence de Berlin de 1884 ; aujourd’hui, le même projet criminel se poursuit sous les lustres et arcanes de Bruxelles, l’européenne ; et peut-être aujourd’hui à Cannes, sous la conduite de la "France-Afrique" qui ne sait toujours pas comment limiter et assouvir son ambition et sa volonté hégémoniques coloniales.
Si les sondages des grands médias français pouvaient avoir lieu ici, en Afrique, ils établiraient sans conteste que :
Parler de "France-Afrique" en ces moments en Afrique, c’est invoquer la peur et l’effroi que provoquent la France de M. Chirac et M. Sarkozy. C’est mettre au pilori cette France moyenâgeuse qui a comploté contre les libertés et la souveraineté de la Côte d’Ivoire en s’acharnant cyniquement aux institutions et au régime légal et légitime du Président Laurent Gbagbo.
Toute honte bue, nous avons vu la "Grande" France du Cardinal De Richelieu, de François Mauriac ou du grand maître des civilisations orientales, André Malraux, s’empêtrer inutilement et s’ingénier à instrumentaliser dans le conflit ivoiro-ivoirien son vaguemestre nigérian Olusegun Obasanjo, à combattre sans retenue ni réserve les positions justes et profondes de l’Afrique debout, défendues fort heureusement avec intelligence, honnêteté et honneur par le président Tabo Mbeki.
Comment parler en ce moment de "France-Afrique" pendant que la France colonialiste est suspectée partout d’encourager et d’entretenir des rébellions, des coups d’Etat et des guerres qui affectent principalement les pays francophones de Côte d’Ivoire, Togo, Guinée, Tchad, Burkina Faso, Centrafrique, Congo, Mauritanie, Mali et j’en passe…

Est-ce un hasard ?
Il est loisible de dire aujourd’hui à cette France qui "a toujours "deux fers au feu", qu’elle nous trouble et nous panique ; que nous ne pouvons admettre davantage qu’elle piétine sur son sol la dignité des immigrés et vouloir nous imposer son "immigration choisie" qui cause d’immenses dégâts à notre continent.
Parler de "France-Afrique" à la veille des élections françaises, c’est comme si l’Afrique apportait sa caution morale à la "Droite française", oubliant cependant les "mensonges socialistes" de la Baule sur les "Aides" et la "Démocratie". En somme, une politique coloniale permanente qui s’écrit en principe immuable de "bonnet blanc" et "blanc bonnet"…
Compte tenu de tout ce qui précède, et avec le concours désintéressé des analystes diplomatiques, rigoureux et impartiaux qui scrutent notre scène politique, qu’il me soit permis de marquer ici (quoi qu’en pensent mes détracteurs) ma totale adhésion, non seulement à l’acte panafricaniste que vient de poser l’Upc en invitant au Cameroun, une délégation officielle du "Front Populaire Ivoirien" (Fpi) mais aussi de féliciter et d’encourager publiquement la diplomatie camerounaise d’avoir "joué le jeu", en s’y impliquant lucidement et souverainement.
Par ailleurs, si nous reprochions une certaine inertie à celle-ci, nul doute que parmi nous, en son temps, beaucoup de Camerounais avaient souligné leur appui à l’indépendance et au non alignement du président Biya lorsqu’il s’est rendu chez le président Bush des Etats-Unis d’Amérique. Il en fut de même lorsque le Cameroun opta conséquemment à la défense de ses intérêts relatifs au conflit de Bakassi d’aller à la Cour Internationale de justice de la Haye au lieu de s’embourber dans une guerre fratricide contre le Nigeria et dont l’issue militaire demeurait hypothétique suite aux accords de coopération ambigus et fluctuants conclus avec la France…
Aussi, je crois que beaucoup de Camerounais, sans être des analystes professionnels ou des diplomates de carrière, conviennent d’une heureuse orientation de la diplomatie de notre pays ; surtout après qu’elle ait mis à la disposition du "Front Populaire Ivoirien" (Fpi) en visite au Cameroun, des structures étatiques d’accueil et de sécurité de qualité qui traduisent sans aucun doute, les "choix politiques" de Yaoundé par rapport à ceux de Paris et de la (fameuse) communauté internationale…
C’est pourquoi, avec une certaine impertinence, je voudrais prier nos Chefs d’Etat de ne point se rendre à ce "Marché d’Arnaque" et de grandes illusions qu’est la "France-Afrique" de recolonisation et de la créolisation de nos valeurs éthiques et métaphysiques.
 


Par Charles Moukouri Dina Manga Bell ancien Vice Président de l’Assemblée nationale
Le 15-02-2007

 DANS LA MEME RUBRIQUE
« La littérature anglophone camerounaise à la croisée des chemins », entrevue avec Bate Besong
...

Obstinant Mépris des Nationalités. Les “Nègres de l’intérieur”, ruine de l’Afrique noire. Par Ndzana Seme
La culture occidentale malade de ses repères et poreuse à toutes les mutations a sombré dans l’obnubilation par les clinquants dans un monde versé dans l’économie des rentes....

LA FRANÇAFRIQUE CHIRAQUIENNE : LE CHANT DU CYGNE
Créés en 1973 sous la présidence Pompidou, les sommets France/Afrique avaient pour vocation la satellisation, autour de la France, des débris des empires coloniaux, français et belge dont le vote était important dans les forums internationaux,...

Chirac, Pyromane Pompier et Fondamentaliste Francafricain
Notes de Peuplsawa.com. Le Systeme de la Suprematie Blanche utilse la language pour diversion. Les victimes de cette domination (les Noirs) doivent être confus. Le General De Gaulle a dit la même chose aux Africains....

CONGO: L´HORREUR, L´HORREUR, DIX MILLIONS DE MORTS?
« Nous courrions le risque de voir un jour fondre et disparaître la population noire au point de nous trouver dans une sorte de désert ».
(The Native Problem in Africa cité par Adam Hochschild, p. 273-274).......

OBSTACLES AU DIALOGUE NORD-SUD par Chinua ACHEBE
Il ne faut pas s`y tromper. Face à l`homme noir, l`homme blanc se trouve placé devant un choix simple : ou bien accepter l`humanité et l`égalité de l`homme noir ou les rejeter et le transformer en bête de somme. Depuis des siècles l`Europe a opté pou...

“LA FRANCE DEMEURERA UN ACTEUR IMPORTANT SUR L’ECHIQUIER DIPLOMATIQUE ET STRATEGIQUE AFRICAIN”, MATHIAS ERIC OWONA NGUINI
Enseignant à l’université de Yaoundé II Soa, ce socio-politiste, chercheur à la Fondation Paul Ango Ela pour la géopolitique, décrypte la place de l’Hexagone et son avenir sur le continent dans un contexte mondialisé....

LE NGONDO : UN HERITAGE CULTUREL ET TRADITIONNEL
Le Ngondo était, à l’origine, une fédération de lignages partageant des destins voisins, des croyances identiques, les mêmes mythes, les mêmes attitudes face aux problèmes des origines et de la destinée des hommes, de leur présence sur terre et du rô...

LE BOURBIER IVOIRIEN (par Sam Ekoka Ewande)
’Nous sommes vraisemblablement partis pour une guerre longue, difficile ; un bourbier pour la France. Le Vietnam ne sera rien par rapport à ce que nous allons faire’’. Proférés au lendemain des évènements du 6 novembre 2004, les propos de Mamadou Kou...

MUSIQUE - Une rétrospective de Suzanne Kala-Lobè
Les JCM (Journées camerounaises de la musique) du 12 au 16 décembre. 5 cadences pour les musiques camerounaises. Des évènements en toile de fond, qui ne seront pas sans incidence sur les rythmes et la mélodie ; les années 50, années de luttes,...

Les autres Ecrits, Publications de Ekoka Ewandè et Kala-Lobè
Ecrits - Articles - Documents... de nos plus brillants journalistes de recherches....

Quand le Cameroun et l’Afrique secouraient une France violentée
Doit-on dédier des monuments à la France alors que les OSSENDE AFANA, OUANDJIE, MOUMIE ou Ruben UM NYOBE (Mpodol) qui est classé « au premier rang des martyrs africains de l’indépendance » ne sont pas encore honorés au Cameroun ?
...

“Les sorciers blancs. Enquête sur les faux amis français de l’Afrique”
Rapport avec Jeune Afrique, stratégie de communication, lobbying et observation électorale... Les bonnes feuilles du livre d’un journaliste français. Claude Marti ...

...

Pierre Messmer, un soldat de la Suprematie Blanche. Tirailleur, légionnaire, administrateur colonial...
"Désormais, ma stratégie sera simple : ayant réussi à contenir la révolte de l’UPC dans son berceau du pays bassa, je l’y étoufferai. Et j’y parviendrai, remportant l’un des deux succès français de l’après-guerre contre des insurrections outre-mer (l...

Hydromine Inc et son président Peter Brigger : des écrans pour la fortune de Paul Biya à l’assaut des mines du Cameroun - Ndzana Seme
L’entreprise Hydromine Inc n’est rien d’autre qu’une boîte à lettres, dont le gouvernement camerounais se sert pour attribuer l’exploitation exclusive de la bauxite camerounaise à Paul Biya et sa descendance, pour les siècles à venir....

Magloire Kede Onana interview
si j’avais un souhait à émettre, c’est celui de créer dans nos grandes agglomérations des « Maisons de jeunes et d’éducation à la citoyenneté ». C’est pour moi, le seul gage pour favoriser l’épanouissement de la jeunesse. Les jeunes ont besoin de lie...

L’Afrique entre le procès de la race et le procès des systèmes de gouvernance
Cette affaire est tout un symbole de la contradiction dans laquelle baigne l’Occident. Comment comprendre qu’au moment où les portes de tous les pays européens semblent se fermer à l’Afrique par des législations d’enfer contre l’immigration, l’on nou...

Le député tchadien Ngarléjy Yorongar interpelle Sarkozy : Qu’y a t-il derrière l’Affaire Arche de Zoé
Pfizer aurait «effectué en 1996 de façon illégale l`essai clinique d`un médicament appelé Trovan Floxacine sur 200 enfants atteints de méningite à méningocoque»,...

Coulibaly, Bassidiki. – Du crime d’être noir : un milliard de noirs dans une prison identitaire
Coulibaly, Bassidiki. – Du crime d’être noir : un milliard de noirs dans une prison identitaire
Préface de Louis Sala-Molins. Paris, Éditions Homnisphères (« Latitudes noires »), 2006, 221 p., bibl.
...

Une négrophobie académique ? Par Odile Tobner
Depuis le Code noir (1685), rares sont les intellectuels français qui ont remis en question le socle raciste sur lequel repose notre regard sur « les noirs », africains ou antillais. Les récentes saillies négrophobes d’Hélène Carrère d’Encausse, Alai...

Kwame Ture last words !Organize! Organize!
(formerly known as Stokely Carmichael) All-African People`s Revolutionary Party. His last words ! Organize! Organize! Organizer,
...

Que cache vraiment l’affaire "Arche de Zoé" ?
Numéro deux de l’ONG, Stéphanie Dhainaut-Lefebvre est une femme de réseaux. S’est-elle servie de ses relais politiques, scientifiques et humanitaires ?...

A propos du rôle positif de la colonisation, par René Naba
Déconstruction des mythes fondateurs de la grandeur française...

Le Bougnoule, sa signification étymologique, son évolution sémantique, sa portée symbolique
«Aboul Gnoul», apporte l’alcool- finira par constituer, la marque d’une stigmatisation de ceux qui auront contribué, à vaincre, les oppresseurs de leurs propres oppresseurs.
...

Deconstructing the founding myths of France´s greatness Paris le, 11 Octobre 2006 - René Naba
Translated by Xavier Rabilloud, proofread by Nancy Almendras...


Jumeaux Masao "Ngondo"

Remember Moamar Kadhafi

LIVING CHAINS OF COLONISATION






© Peuplesawa.com 2007 | WEB Technology : BN-iCOM by Biangue Networks