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Chirac, Pyromane Pompier et Fondamentaliste Francafricain

 
Notes de Peuplsawa.com. Le Systeme de la Suprematie Blanche utilse la language pour diversion. Les victimes de cette domination (les Noirs) doivent être confus. Le General De Gaulle a dit la même chose aux Africains.


Notes de Peuplsawa.com. Le Système de la Suprematie Blanche utilse la language pour diversion. Les victimes de cette domination (les Noirs) doivent être confus. C´est dans la même tradition du langage occulte, comme jadis le General De Gaulle à Brazzaville, les Allemands avec leurs "Schutzvertrag". Jusqu´à quand ce mensoge se perpetuera? C´est nous qui devons arreter de les écouter   Ne nous laissons plus berner.

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Le mois de février 2007 a levé tous les doutes possibles et naïvement imaginables sur la très fameuse amitié liant M. Jacques Chirac, président français en exercice, et le continent africain dont il clame sa ferveur depuis des lustres.
Avec des accents d’altermondialiste militant, et dans une langue par moments très peu diplomatique, le chef de l’Etat français ne s’est pas gêné pour reprendre à son compte les critiques acerbes et radicales du rôle de l’Occident en Afrique. Les termes de pillage de l’Afrique, de ses matières premières, de sa culture, ont été utilisés sans émollient par l’ami revendiqué des présidents et autocrates africains lors de ses discours aux Forum Afrique Avenir [12.02.07, Paris, La Villette], et à Cannes à l’occasion du Sommet (creux) Afrique-France. «Les choix économiques seront capitaux. L´Afrique est riche, mais les Africains ne le sont pas. Le continent détient le tiers des réserves minérales de la planète. C´est un trésor. Mais il ne doit être ni pillé, ni bradé», disait-il cou-[rageusement] à Cannes le 15 février recevant ses hôtes et homologues africains.
Il ne manquait rien à ce catalogue de plaintes, de douleurs, d’émotion, se remémorant en modèle françafricain le «Vieux» Houphouët Boigny, qu’il désignait comme «sage». Le culot du locataire de l’Elysée connu pour sa diplomatie parallèle, sera d’oser parler de droits de l’homme, de démocratie, des progrès enregistrés par le continent dans ses domaines auscultés par le «Grand blanc». Son soutien personnel inconditionnel aux pires Nuisibles politiques africains, Eyadema père et fils ou Sassou Nguesso, parangons du pré carré gaulois version musclée militaire, comptera certainement dans l’histoire comme une croisade héroïque pour les droits des … dictateurs, espèce en voie de trop lente disparition, pauvres victimes incomprises des peuples avides de pouvoir.
L’ancien ministre de l’agriculture Chirac, ancien premier ministre et président qui s’est toujours battu pour maintenir les subventions européennes aux agriculteurs français, sait très bien, l’espace d’un discours, en attendant d’affirmer le contraire le lendemain, s’insurger contre cette paupérisation en règle des agriculteurs africains : «Il est temps que les pays riches cessent de subventionner leurs producteurs au détriment de ceux du Sahel qui ont là leur unique source de revenu. Cette attitude est inacceptable et inhumaine». Cela n’empêche apparemment pas les uns et les autres de prendre au sérieux la proverbiale amitié de M. Chirac pour l’Afrique et les Africains … D’ailleurs le grand chef de la Francafrique a réussit une performance à relever. Bien décidé à parler en positif d’une région du monde qui croît quand même à 5% annuels, le président français a changé les verres de ses lunettes. Ainsi la population africaine considérée comme «une inondation» le 14 juillet 2006 à une heure de grande écoute le jour de la fête nationale est-elle devenue «démographie exceptionnelle, richesse et défi à la fois». Inondation verbale ?
Il est pourtant établi que ledit Chirac, défenseur des Pauvres africains, féru d’arts premiers, a été personnellement en mal d’établir la légalité de certaines de ses antiquités africaines, statues en terre cuite, officiellement offertes par ses collaborateurs en 1996 et qu’il avait été contraint de restituer au Mali. Il sait peut-être de quoi il parle, par conséquent, lorsqu’il assène l’argument du pillage du continent devant ses homologues, frères africains aux comptes en bancaires pléthoriques de par les paradis fiscaux du monde…

En quarante ans de vie politique, l’idéaliste Chirac garde intact ses rêves de solidarité, de fraternité et d’etcetera. Cela ne coûte assurément rien, même pas de la crédibilité nationale. Toute autre est la réalité des Bouygues, Total, Bolloré, Elf, qui siphonnent et ne se lassent de pomper les ressources africaines en fabriquant avec les parrains français de la Francafrique, les classes politiques serviles et incapables d’imaginer un autre horizon que celui de la servitude post-coloniale.

Areva exploite et surexploite l’uranium au Niger dans des conditions écologiquement criminelles selon la plupart des ONG qui ont étudié la question. De même du bois d’Afrique centrale, ou des récentes pollutions en Côte d’Ivoire. Pourtant le président français qui couvre tous ces crimes ne se gêne pas pour parler défi écologique, agence des Nations unies pour l’environnement, sans oublier un couplet bien rôdé sur les effets terriblement  néfastes à l’Afrique du règlement climatique. Plus que le culot, on frise une toute autre nature sentiment que le respect à chef d’Etat n’autorise pas de décrire par le menu, même si on n’en penserait pas moins, loin s’en faut.
Il faut tout de même reconnaître que malgré l’improbable sketch altermondialiste de Chirac, l’homme a été très honnête dans l’affirmation de la seule réalité et raison d’être de la Francafrique, les intérêts de la France, son influence dans le monde via des Etats clients, captifs, faibles et instrumentalisés pour ne savoir servir que les bonnes causes de l’ancienne métropole et de ses illégitimes héritiers de l’ombre. En affirmant que «La France respecte et continuera de respecter les accords de défense qui la lient à plusieurs Etats africains», le président français en exercice ce 15 février 2007 a tout simplement réaffirmé le principe fondateur et opérationnel de la Francafrique. Ce sont en effet ces soit disants «accords» de défense, signés [rien n’est moins sûr] dans des conditions floues par des Etats en décolonisation, qui garantissent la préemption des ressources africaines à l’ancienne puissance coloniale contre soutien aux autocrates, justifiant un interventionnisme postcolonial si arbitraire et antidémocratique : les populations françaises et africaines, leurs représentants [parlements] ne sont en rien consultés pour ces opérations Turquoise, Licorne, Epervier, etc. C’est cette matrice criminelle et criminogène vieille d’un demi siècle que le chef de l’Etat français a tenu à réaffirmer, c’est-à-dire aide aux tyrannies, prédation sur les ressources des pays, expertises diverses en dévoiements des trajectoires démocratiques et de développement de millions d’âmes.

Pierre Prêche
Afrikara



Chirac, la Retraite au Sommet,
vendredi 16 février 2007 par Xavier Monnier 
www.Bakchich.info

A Cannes se tenait ce jeudi la XXIVe conférence Afrique France. Certains observateurs mal informés auraient pu croire à une réunion intercontinentale de vieilles personnes fortunées, mais il s’agissait bien de la dernière sortie d’importance de notre vaillant président

Finalement Cannes est un bon choix. La Croisette, ses paillettes, ses villas, ses hôtels coquets, ses boutiques luxueuses. Le dernier sommet France-Afrique de Jacques Chirac n’aurait pu que se tenir là. D’autant que la moyenne d’âge des invités ne jurait guère avec celle de la population, l’hiver, sur la Côte d’Azur. Oui, finalement, Cannes est un bon choix, à mettre au crédit de « Chirac l’Africain ».

Et le sommet s’est déroulé comme prévu. Sans accroc, sans grande nouvelle non plus. Bon gré mal gré, une réunion sur la crise du Darfour s’est tenue. Pour la forme. En comité restreint, jeudi, à 17 heures. Invité, Moubarak d’Egypte, Béchir du Soudan, Bozizé de Centrafrique (« pas une lumière politique » selon un mal-appris du Quai d’Orsay) et « l’ami de la France », selon l’éternel mot de Chirac, Idriss Déby Itno. Un peu ronchon, le maître de Ndjaména a du se faire tirer l’oreille pour y assister. Il ne voulait pas voir son voisin Béchir. « On ne lui a pas laissé le choix », susurrent certains. Une sorte de cadeau d’adieu sans grande conséquence. « Il ne faut pas s’attendre à ce que grand-chose en sorte », glisse un habitué.

Non, l’intérêt du sommet était autre. Une réunion de vieux complices d’entourloupes –au choix pétrolières, barbouzardes, affairistes– qui se disent au revoir. Adieu la Chirafrique, ses relations avec les présidents à la démocratie incertaine et au train de vie somptueux. Un chant du cygne, sans chaudes larmes ni énormes embrassades. Presque un programme de retraité. Bien agencé et pas trop lourd.

Mercredi soir, un petit dîner avec les proches. Le camerounais Paul Biya, le gabonais Omar Bongo, le congolais Sassou Nguesso. Jeudi matin, le discours d’ouverture. Le président français, a été applaudi. Poliment. Presque une insulte aux vues de tous les services rendus. Seul Amani Toumani Touré s’est fendu en public d’un « mon cher Jacques ». Bouteflika, teint cireux, a écouté, engoncé dans sa chaise, est resté muet. « Comme une tombe », ose un observateur mesquin. Le Prince Moulay Rachid, représentant pour l’occasion son frère Mohammed VI, n’a pas pipé mot non plus, à personne.

Au moins son royal frère a-t-il présenté une excuse béton pour surseoir à la sauterie. Sa femme est sur le point d’accoucher. « D’ici quelques semaines », persiflent les incontournables mauvaises langues. Les jeunes rechignent toujours à s’occuper de leurs vieux parents...

Et ce ne sont pas les seuls. Gbagbo, finalement, n’est pas venu non plus. Le président ivoirien « cauchemar africain » de Chirac, a préféré envoyer son « grand bouffeur » et président du conseil économique et social, Laurent Dona Fologo, le représenter. Tant pis pour le pied de nez à son ennemi intime. « Tant mieux, il ne pèsera pas sur le sommet », s’est réjoui la cellule africaine de l’Elysée. Pas un mot en revanche sur l’absence du président sud-africain, Thabo Mbeki.

Mais une réunion de vieux routiers a toujours quelque chose de gênant, voire de pathétique. Et le XXIVe sommet France-Afrique du nom n’a pas dérogé à la règle.

A commencer par la conférence de presse préparatoire, donnée mardi 13 février à l’Elysée. Suivi par un bref briefing de Michel de Bonnecorse, le patron de la cellule Afrique, à quelques journalistes. Une séance histoire de justifier les absences, de la part d’un vieux grognard chiraquien qui voulait protéger son mentor d’une dernière salve de reproches. Au hasard sur la gestion du dossier ivoirien, et notamment des morts français de Bouaké (voir p.3).

Puis le discours d’ouverture. Chirac n’a pas eu un mot pour la Guinée, en cours d’implosion, laissant le président de l’Union Africaine, le Ghanéen John Kufuor, se charger de la question. Décevant. Pas de grandes envolées lyriques. Et ses encouragements à Angela Merkel avant son allocution, ont paru un brin surannés. Tout comme ce pouce levé en signe d’acquiescement au discours de la chancelière allemande.

Un geste d’un autre âge de la part d’un homme qui file vers le passé. Et, qui sait, enterre peut-être avec lui, une certaine politique africaine de la France.

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Assumant le rôle d´"analphabète", le chef de l´Etat explique dans cet ouvrage à paraître mercredi aux Editions Fayard pourquoi il n´a rien fait pour démentir la rumeur selon laquelle il serait totalement étranger à la culture. "Je me disais : au moins on me fout la paix, j´ai mon domaine personnel et ce n´est pas la peine que les journalistes, pour des raisons politiques, viennent mettre leurs grands pieds dans mon jardin privé", explique-t-il.

Il se livre également sur son action durant la guerre d´Algérie, sur son soutien à l´ANC de Nelson Mandela, sur son "problème culturel avec les Américains", ou encore sur "le drame de sa vie", celui de sa fille Laurence, anorexique.

"Il n´y a aucune raison de le nier, cela a été le drame de ma vie. J´ai une fille qui a été intelligente, jolie, et qui, à 15 ans, a été prise d´anorexie mentale", raconte le chef de l´Etat. "On a essayé, avec des gens très gentils, de l´occuper à un semblant de travail, même non rémunéré... mais il n´y a rien à faire".

Interrogé sur le poids des "coups de poignards politiques" face à un tel drame, Jacques Chirac lance, dans une diatribe inhabituelle : "Je me fous éperdument que Sarkozy ou tel autre... Je me fous de beaucoup de choses... Je tiens à souligner que ma femme a eu ce mérite extraordinaire d´avoir toujours fait en sorte que ce problème m´affecte le moins possible au fil de mes responsabilités et ambitions successives, et elle continue à tout faire pour l´assumer entièrement".

Dans cet ouvrage, le président aborde, pour la critiquer violemment, la colonisation. Evoquant les Africains, il assure qu´"après leur avoir volé leur culture, on leur a volé leurs ressources, leurs matières premières en se servant de leur main-d´oeuvre locale. On leur a tout piqué et on a répété qu´ils n´étaient bons à rien. Maintenant, c´est la dernière étape : on leur pique leurs intelligences en leur distribuant des bourses, et on persiste à dire de ceux qui restent : +ces Nègres ne sont décidément bon à rien+".

Il note à cet égard qu´on ne l´a "jamais entendu parler d´immigration choisie", un thème cher à Nicolas Sarkozy.

Les lignes consacrées au président de l´UMP se veulent apaisantes. "Je le connais bien, avec, comme tout le monde, ses qualités qui sont grandes, et ses défauts. Il faut aussi que vous compreniez quelque chose : j´ai moi aussi des qualités et des défauts".

Pour autant, Jacques Chirac constate que "la fraction libérale est devenue très forte" au sein de l´UMP. Il reconnaît en outre avoir "mal géré" l´affaire du contrat première embauche (CPE).

S´agissant de sa vie privée, il assure qu´il n´a "pas détesté les femmes". "Mais je n´en ai jamais abusé", confie-t-il, estimant exagérés les mots de sa femme Bernadette selon qui, avec lui "les femmes, ça galopait".

Le chef de l´Etat dit en outre sa fascination pour François Mitterrand, assure n´avoir pas comploté avec lui en 1981 contre Valéry Giscard d´Estaing, se dit "allergique à Le Pen", et dévoile avec délectation "la vanité de Balladur", qui en 1986 revendiquait le grade de "ministre d´Etat".


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