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22.03.2007

Samuel Nja Kwa: Journaliste et Photographe 


























LA ROUTE DE JAZZ

La " Route du Jazz " se confond avec celle des esclaves africains. Elle démarre en Afrique, donnant l´occasion d´un état des lieux de la culture musicale avant l´invasion européenne, pour s´achever en 1917, une année arbitrairement fixée, mais décisive.
Produit d´une synthèse entre la création européenne et la tradition africaine, rendue possible sur le sol américain, le jazz porte en lui les stigmates de l´histoire.
Comment, une fois déportée, a évolué la culture musicale africaine ? Victime d´une tentative d´homicide, comment a-t-elle pu être recréée et renouvelée au contact des Européens et des Américains ? Comment a-t-elle pu donner naissance au jazz ? Quelles traces africaines reste-t-il dans le jazz actuel ?

Autant de questions auxquelles ce site, un ouvrage à venir et une exposition itinérante tenteront humblement de répondre. Pour cela, une large place est consacrée aux acteurs de cette épopée, de l´Afrique aux Amériques, en passant par l´Europe.


====================

Samuel Nja Kwa
Diplômé de sciences politiques à l´Université du Québec Montréal, Samuel Nja Kwa est Journaliste et photographe d’origine camerounaise.
A la recherche de belles images, en N&B ou en couleur, il voyage à travers le monde (Afrique, Asie, Amérique) et effectue des reportages. Amoureux de la scène musicale et des arts plastiques, il photographie aussi de nombreux artistes (musiciens, plasticiens, danseurs…). Depuis 1995, il est sur la Route du Jazz, à travers laquelle il rencontre et photographie des icônes du jazz.
En Europe et en Afrique le photographe présente des expositions photographiques Visions du Japon en 1996 (MJC de Montrouge), Mali Foly en 1998 (festival Africolor), 2000 Visages pour l’an 2000 (festival Transit), Route du Jazz en 2001 (Abidjan Dunhill Jazz Festival) et 2002 (festival L’esprit Jazz), et Musicale Mandingue en 2003 (Contours de Bamako).
Samuel Nja Kwa est l’instigateur et le directeur de la biennale des arts visuels et de la photographie intitulée DUTA, dont la 1ère édition a eu lieu à Douala (Cameroun) du 14 au 23 janvier 2005.
Il collabore avec de nombreux magazines (Africultures, Jazz Hot, Planète Jeunes, Créola, Miss Ebène, Afrique Magazine, Télérama, Elle) et agences de presse (Dalle, Panapress).
Samuel Nja Kwa en quelques dates :
> 1964 Naissance à Paris XIV
> 1981 Il fait parti du club photo de l’Institut Saint Aspaix (Melun)
> 1991 Départ pour Montréal
> 1994 Retour à Paris, il intègre le journal Les Nouvelles de la Francophonie
> 1995 Départ pour le Japon
> 1996 C’est l’année du Japon, première exposition à la MJC de Montrouge
> 1997 Il vend sa première photo de jazz
> 2005 Il lance DUTA, la première biennale des arts visuels et de la photographie en Afrique Centrale




Journaliste d´origine camerounaise, Samuel Nja Kwa est né et travaille à Paris. Après des études de sciences politiques à Montréal, il s´installe définitivement à Paris en 1994. A ses débuts comme journaliste politique, en 1996, il rencontre et photographie des chefs d´Etat africains. La même année, après un séjour au Japon, il propose une exposition, " Visions du Japon " qui se tient à la MJC de Montrouge. Avec des amis, il lance en 1998 le magazine Le Disque Africain et rencontre de nombreux artistes qu´il s´amuse à photographier en privé. Encouragé par ses amis photographes (Bill Akwa, J-H Mont, Omar Fall), il est atteint à vie par le virus de la photo et franchit la ligne. En mai 2000, il expose " 2000 visages pour l´an 2000 " dans le RER de Sevran Beaudottes, dans le cadre du festival " Transit". Dans le cadre du festival " Africolor ", en décembre 2000, il a proposé une exposition composée de portraits d´artistes. En mars 2001, il expose sa " Route du jazz " dans le cadre du Dunhill Jazz Festival à Abidjan. En mai 2002, il est invité par le festival " L´esprit Jazz " à Saint-Germain-des-Prés à participer à une exposition collective.

Samuel Nja Kwa collabore à la revue Africultures, au féminin antillais Créola, au magazine de bord de la compagnie aérienne Cameroon Airlines N´djamna, au magazine Jazz Hot, Planète Jeune. Il est aussi collaborateur de l´agence Panapress.


=========

Né à Paris le 23 février 1964, Samuel Nja Kwa est d´origine Camerounaise. Il étudie et grandit entre Douala, Paris et Montréal puis intègre en 1995 le magazine Les Nouvelles de la Francophonie. Il y traite d´économie, de politique, de culture, de société. Plus tard, il pige pour Le Français dans le Monde, L´étoile d´Afrique, Dakar Soir. En 1996, il s´envole pour le Japon et propose à son retour « Visions du Japon », sa première exposition. A cette même époque, il lance avec des amis le magazine Le Disque Africain et rencontre de nombreux artistes, notamment de jazz, qu´il s´amuse à photographier et interviewer. En choisissant le portrait, il se distingue dans un style très personnel. Un premier cliché (Toups Bebey), publié dans Jazzman, l´encourage. Sa rencontre avec Randy Weston crée le déclic.

Il s´intéresse de plus près à la racine africaine du jazz. Il rejoint l´équipe d´Africultures, où il est responsable de la rubrique musiques, collabore à La Revue Noire, Balafon (le magazine de la compagnie aérienne Air Afrique) ou encore le magazine féminin antillais Créola, Djam´na (le magazine de bord de Cameroon airlines), Planète Jeunes. En tant que photographe, il collabore aux magazines Jazzman, jazz Hot, L´Autre Afrique, Afrique Magazine, Rock & Folk, Elle, Télérama. Il réalise aussi des photos cover de cds d´artistes africains (Kristo Numpuby, Coco Mbassi.) En mai 2000, il réalise pour le festival Transit une nouvelle exposition photographique, « 2000 visages pour l´an 2000 », dans le RER de Sevran Beaudottes. Il expose en décembre 2000, une galerie de portraits d´artistes maliens, « Mali Foly » , en partenariat avec le festival Africolor. Sa « Route du Jazz » débute en Côte d´Ivoire en Mars 2001 (Dunhill Jazz Festival), puis en mai 2002 au festival l´Esprit Jazz à Saint-Germain des Prés (Paris).

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Diplômé de sciences politiques à l´Université du Québec Montréal, Samuel Nja Kwa est Journaliste et photographe d’origine camerounaise. A la recherche de belles images, en N&B ou en couleur, il voyage à travers le monde (Afrique, Asie, Amérique) et effectue des reportages. Amoureux de la scène musicale et des arts plastiques, il photographie aussi de nombreux artistes (musiciens, plasticiens, danseurs…). Depuis 1995, il est sur la Route du Jazz, à travers laquelle il rencontre et photographie des icônes du jazz. En Europe et en Afrique le photographe présente des expositions photographiques en 1996 (MJC de Montrouge), en 1998 (festival Africolor), (festival Transit), en 2001 (Abidjan Dunhill Jazz Festival) et 2002 (festival L’esprit Jazz), et en 2003 (Contours de Bamako).Samuel Nja Kwa est l’instigateur et le directeur de la biennale des arts visuels et de la photographie intitulée DUTA, dont la 1ère édition a eu lieu à (Cameroun) du 14 au 23 janvier 2005.Il collabore avec de nombreux magazines () et agences de presse (Dalle, Panapress). Journaliste d´origine camerounaise, Samuel Nja Kwa est né et travaille à Paris. Après des études de sciences politiques à Montréal, il s´installe définitivement à Paris en 1994. A ses débuts comme journaliste politique, en 1996, il rencontre et photographie des chefs d´Etat africains. La même année, après un séjour au Japon, il propose une exposition, " Visions du Japon " qui se tient à la MJC de Montrouge. Avec des amis, il lance en 1998 le magazine Le Disque Africain et rencontre de nombreux artistes qu´il s´amuse à photographier en privé. Encouragé par ses amis photographes (Bill Akwa, J-H Mont, Omar Fall), il est atteint à vie par le virus de la photo et franchit la ligne. En mai 2000, il expose " 2000 visages pour l´an 2000 " dans le RER de Sevran Beaudottes, dans le cadre du festival " Transit". Dans le cadre du festival " Africolor ", en décembre 2000, il a proposé une exposition composée de portraits d´artistes. En mars 2001, il expose sa " Route du jazz " dans le cadre du Dunhill Jazz Festival à Abidjan. En mai 2002, il est invité par le festival " L´esprit Jazz " à Saint-Germain-des-Prés à participer à une exposition collective. Samuel Nja Kwa collabore à la revue Africultures, au féminin antillais Créola, au magazine de bord de la compagnie aérienne Cameroon Airlines N´djamna, au magazine Jazz Hot, Planète Jeune. Il est aussi collaborateur de l´agence Panapress. =========Né à Paris le 23 février 1964, Samuel Nja Kwa est d´origine Camerounaise. Il étudie et grandit entre Douala, Paris et Montréal puis intègre en 1995 le magazine Les Nouvelles de la Francophonie. Il y traite d´économie, de politique, de culture, de société. Plus tard, il pige pour Le Français dans le Monde, L´étoile d´Afrique, Dakar Soir. En 1996, il s´envole pour le Japon et propose à son retour « Visions du Japon », sa première exposition. A cette même époque, il lance avec des amis le magazine Le Disque Africain et rencontre de nombreux artistes, notamment de jazz, qu´il s´amuse à photographier et interviewer. En choisissant le portrait, il se distingue dans un style très personnel. Un premier cliché (Toups Bebey), publié dans Jazzman, l´encourage. Sa rencontre avec Randy Weston crée le déclic.Il s´intéresse de plus près à la racine africaine du jazz. Il rejoint l´équipe d´Africultures, où il est responsable de la rubrique musiques, collabore à La Revue Noire, Balafon (le magazine de la compagnie aérienne Air Afrique) ou encore le magazine féminin antillais Créola, Djam´na (le magazine de bord de Cameroon airlines), Planète Jeunes. En tant que photographe, il collabore aux magazines Jazzman, jazz Hot, L´Autre Afrique, Afrique Magazine, Rock & Folk, Elle, Télérama. Il réalise aussi des photos cover de cds d´artistes africains (Kristo Numpuby, Coco Mbassi.) En mai 2000, il réalise pour le festival Transit une nouvelle exposition photographique, « 2000 visages pour l´an 2000 », dans le RER de Sevran Beaudottes. Il expose en décembre 2000, une galerie de portraits d´artistes maliens, « Mali Foly » , en partenariat avec le festival Africolor. Sa « Route du Jazz » débute en Côte d´Ivoire en Mars 2001 (Dunhill Jazz Festival), puis en mai 2002 au festival l´Esprit Jazz à Saint-Germain des Prés (Paris).
 

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