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20.05.2007
SAWANITE : entre le front du refus et la tentation d’adhérer
SAWANITE : entre le front du refus et la tentation d’adhérer
Quel est l’enjeu essentiel, prioritaire auquel doit répondre la société sawa en marge des ménages partisans et des grand-messes militantes de ces dernières semaines au Cameroun et à l’Etranger ?
A quel sein doivent se vouer les ressortissants du littoral camerounais, écartelés entre le désir d’espérer toujours et la tentation de punir enfin ?
Comment imaginer un Cameroun où les intérêts des peuples sawa (et non pas des doléances subalternes) au milieu de ceux des ethnies voisines pourraient dorénavant être reconsidérés sous la vigilance déjà bien élimée de nos chefferies traditionnelles ?
Posées en ces termes, ces questions, ou tout au moins l’esprit de celles- ci, pourraient paraître un brin sectaire. Cependant la réalité de ces interrogations est beaucoup moins excluante, tant il vrai que le peuple sawa, dans sa quintessence, demeure fondamentalement un peuple d’accueil et pétri de générosité.
Bonatétè voici venu pour vous l’heure du choix.
Il fut un temps au Cameroun où être député de la nation était si valorisant, si grand qu’on appartenait forcément à l’antichambre privilégiée des ministères. Pour certains c’étaient des ‘’dieux’’ des lois, pour d’autres des porte-voix du développement de nos terroirs. Les parlementaires n’avaient pas besoin de ramager pour plaire. Leurs actes parlaient pour eux. N’étant ni de gauche ni de droite, ni idéologiquement fédéralistes, ni entièrement nationalistes. Ils étaient députés, point. Seul l’engouement à leur mission délégatrice faisait office de parti. Celui du cœur et de la raison. Qu’il est loin ce temps !
Cet esprit purement républicain qui devait se bonifier avec le temps a périclité sous le flux des promesses fluctuantes, sous les spots du système panoptique des médias d’Etat. Encore des élans avortés et toujours un peuple, celui du Cameroun, enivré de son précaire magistère électoral. Un peuple embrumé par des mensonges dont on pourrait croire que les auteurs ne savent ce qu’ils pensent qu’après avoir entendu ce qu’ils débitent.
Aujourd’hui bien des candidats se présentent à ces élections législatives pour l’assurance d’un traitement quinquennal de grand luxe assortie des émoluments consistants. Aujourd’hui certains y vont pour s’assurer une immunité qui pourrait parer d’énormes ennuis judiciaires. Bien des camerounais à tord ou à raison continuent pourtant à croire à ce Grand Soir qui tarde à venir.
Nul mieux que MM Paul Ngallè et Mpeke Mu Ntonga , sur cette toile, n’a su décrire la douloureuse ambiguïté qui hante et gangrène la mémoire collective des camerounais et des sawa en particuliers.
Et comme si le psychodrame national des promesses électorales non tenues et des guéguerres de pouvoir ne suffisaient plus à animer le seul triangle national, il fallait l’importer outre méditerranée. Histoire sans doute de donner une touche exotique à la lessive de notre linge sale.
Sous le sacro saint principe du respect des communautés diasporiques, la surenchère démocratique a même gagné le parti de la majorité gouvernementale camerounaise au point d’en être un bien d’exportation sur la terre européenne, berceau de cette idéologie. Il a fallait l’oser. Et il l’on fait !
Souvent à connotation progressistes, les discours des gouvernements successifs de cette majorité sur des questions de santé, d’école, corruption… ne m’on jamais permis d’humer, pour le sawa exigeant que je suis, le parfum de la rose socialiste qu’il nous ont tendue à chaque veille des élections. Sur la tige de ces roses, comme beaucoup d’entre vous, j’y ai douloureusement senti des épines élégamment bien dressées. Cette imposture est aujourd’hui aux portes, que dire, dans les murs de l’Europe. Le ridicule ne tue décidément pas !
Mais Mboa ne nous y trompons pas. Cette méthode et ces recettes éculées veulent nous faire oublier, à force de bonhomie et de talent, les échecs et les renoncements de ces hiérarques sans vergogne du passé qu’ils sont encore. Or c’est à la fois une gageure et un scandale que d’exposer aux yeux du monde et sur un même étal, une parure et sa pacotille. Il y a bien longtemps que les camerounais sous le poids de leur souffrance ont appris à distinguer ‘’l’analogique’’ et le ‘’numérique’’ de la démocratie autrement dit le toc et le vrai !
Qu’un parti jadis autarcique veuille muter et migrer vers des horizons plus populaires en y réintroduisant le débat n’a rien de blâmable, bien au contraire. Mais encore faudrait-il que cela ne soit pas un simple maquillage à fond de teint. L’heure n’est plus aux changements cosmétiques, le temps n’est plus aux grosses menteries de naguère.
Mensongère est également cette attitude victimaire et espiègle d’une partie de l’opposition camerounaise qui se joue de l’humeur des camerounais et qui dit prophétiquement détenir les clefs du « changement » et de « l’espoir », mais qui pourtant n’existe que dans la continuité de ces mésalliances sécrètes qu’elle noue avec l’establishment dans le dos des Camerounais.
Et quand bien même cette opposition apparaît sous un beau jour ce n’est ni plus ni moins que pour asperger d’insultes, brocarder de dénigrements et condamner au vitriol ceux qui pensent différemment. Mais cela suffit-il pour en faire une politique ? A ce tracassin ils ne répondent pas ! A mon avis, Il faut aller plus loin ou plus exactement plus près du peuple. Pas forcément opter pour cette parodie de jury populaire qui est aujourd’hui dans l’air du temps. Mais donner les lignes directrices et dégager des orientations fortes susceptible d’éclore en projet de société. C’est ce gap, ce flog jump qui au fond fait encore défaut à notre contre-pouvoir au Cameroun dans les perspectives de 2007 puis de 2011.
Lorsqu’il a été présenté à Moïse la table des dix commandements, l’avis du peuple d’Israël n’a pas été préalablement requis par un plébiscite sondagier. Cette table de devoir a été imposée …pour la bonne cause. Alors de ce point de vue, non seulement le devoir est antérieur au droit, mais tout leader d’opposition doit prendre position et non pas se défausser éternellement.
Dans leurs simagrées, certains opposants camerounais n’apprécient rien des autres, pas même l’électorat qu’il veulent prétendument servir. Il n’y a qu’à voir le traitement qu’ils infligent aux usagers des maigres municipalités dont ils ont la charge. En fait, ils veulent jeter le bébé avec l’eau du bain. Comment peut-on vouloir servir une autre soupe à la nation tout en brisant la louche et cassant la soupière !
Au vu donc de ce poker menteur, de cette foire aux opportunistes la question que biens des sawa désabusés se posent est celle de savoir pourquoi la Real Politik rime t-elle assez souvent au Cameroun avec le renoncement des convictions ?
Le Cameroun a décidément l’art du paradoxe. Il devient même de plus laborieux de trouver la phraséologie qui convient aux abondantes contradictions de la politique et des politiques camerounais.
Pour mieux comprendre l’ampleur de ces paradoxes, penchons-nous, un tant soit peu, sur le cas Bruxellois de ces dernières semaines. L’un des exemples les plus illustratifs de nos confusions des genres : Alors que les consultations électorales nationales sont, on le sait en occident, de l’ordre du virtuel et que par conséquent nos représentations diplomatiques n’en connaissent que très peu la pratique et l’organisation, il étonnant de voir l’enthousiasme qui a émaillé la mise sur pied des élections des organes du parti de la majorité gouvernementale à Bruxelles. D’ailleurs mal leur en a pris ! Puisque nos vieux démons ayant enjambé eux aussi la méditerranée, les résultats dudit scrutin sont aujourd’hui entachés d’une vive contestation. Chassez le naturel il revient au galop. Quel spectacle navrant !
Jamais, ces dernières années, ne me sont apparues aussi clairement, l’expression du flou artistique que l’Etat entretient dans le paysage militant camerounais. Voilà autant de pratiques qui font que notre pays est devenu davantage une nation du ressentiment que du sentiment. Y a-t-il des remèdes à cela ? A nous de les trouver !
La sawanité procède donc d’abord au refus sournois du fait ’’communautarien’’ au Cameroun qu’au cisèlement soigneusement ourdie de notre nation tant aimée.
Elle n’a pas de leçons de républicanisme à recevoir de ceux qui brandissent fallacieusement la bannière nationale pour dissimuler au mieux leurs basses besognes claniques qui asphyxient le pays.
La sawanité n’opère pas dans des tractations de couloir. Elle a le courage de braver la conspiration du silence, de remettre la vérité aux marges de l’accessible. Elle refuse de saluer les processions des marchands d’illusions, et de ces bien-pensants qui scandent à coup de piolet le vocable « République Unie » comme on vendrait une marque de savonnette en rue.
Elle ne se résume pas à une protestation volatile encore moins à une délation inféconde, mais elle ne pense pas non plus qu’il faille taxer de ‘’vendue’’ toute indépendance non obtenue à la pointe du fusil où sans un passage à la prison de kodengui. Elle rature tout simplement le mur de la vison sclérosé des choses dont le préjugé est la première des briques.
De même ce n’est pas parce qu’un député est Ntoumou ou Eton qu’il ruine sa circonscription. Non ! Mais parce qu’il est receleur de biens publics tout simplement. Mettez impunément un dilapidateur des deniers publics à la tête du Sahara Occidental, en fin de mandat il importera du sable pour le désert de son pays. La spoliation n’est pas l’apanage d’une ethnie, d’une tribu ou d’une génération toute entière. Seul l’égoïsme perverti la politique et la détourne de son objet.
Mboa en tout état de cause, le Cameroun et les camerounais existent, les ethnies de ces camerounais aussi. Il n’est pas pire aveugle que celui qui refuse de voir.
Entre les tenants d’une vision crépusculaire et les enthousiastes enjoués du Cameroun d’aujourd’hui et de demain, il y a, à la frontière de ces deux visions, une réelle expression de la crise de représentation qui gagne le pays. A mon sens, nous ne pouvons rester indolents et passifs face à un clivage aussi marqué. C’est une question de responsabilité pour nos mômes.
Bonatétè, la nation on le sait est une énigme en perpétuelle gésine. A nous de la modeler à l’image de nos rêves et de nos ambitions. A ceux qui s’adresseront à nous dans les mois avenir, ils ne devront jamais oublier que l’éthique est à la nation ce que l’honneur fut au temps des royaumes. L’enquête que mène notre site peuplesawa.com depuis de long mois est à la hauteur même d’une mesure de salubrité publique de proximité qu’il est urgent de soutenir. Dépoussiérer notre mémoire ancestrale, épousseter notre conscience citoyenne, tels sont aussi les combats de notre sawanité.
Avec vous mais surtout pour vous, rien ne sera escamoté, rien ne sera tabou, rien n’arrêtera ce bonheur qui est marche et que vous impulsez à travers le capital de sympathie qui se lit sur ce portail. Que vous insuffler à travers ce que vous donnez de votre plein gré, en commençant par votre temps. Car n’oublions jamais cette sagesse populaire Balong : ce qui n’est pas donné est voué à être perdu. Frères et sœurs sawa c’est avec votre générosité que toutes les audaces démocratiques et patriotiques deviendront possibles pour un avenir meilleur et plus éclairé.
Nous avons pleinement conscience dans ce site qu’une communauté de destins sawa réellement raffermie, n’émergera qu’à travers une conscience politique et culturelle avertie. La vôtre. C’est pour cela que ce site milite nuit et jour contre le rabougrissement de notre humanité.
Mboa, pour ma part, la terre et le peuple sawa, vous le savez, restent les prunelles de mes yeux. Comme beaucoup d’entre vous, frères et sœurs j’ai grandi et continue à évoluer avec eux. La velléité émancipatrice de ce peuple, condition de sa survie, signe de la fin d’une léthargie où le seul fait de rassembler, en restant une société d’accueil, valide sa nature exceptionnelle.
Des dossiers chauds mais au coefficient élevé d’attente sociale demandent à être défendus par les futurs députés du littoral. Parmi eux, citons entre autre :
Une politique clairement affirmée de désenclavement et de viabilisation continue des zones périurbaine de Douala, Le prise en compte des rapports d’ichtyologues sur la raréfaction de certaines ressources halieutiques d’eau douce, le débat souhaité sur l’exceptionnalité culturelle au service de la création , l’innovation et la protection de la propriété intellectuelle des artistes qu’attendent les professionnel du Makossa, l’urgence de la mise sur pied des préfectures maritimes, la viabilisation de Yoyo comme solution de secours de Kribi et de Limbe en matière Balnéaire, l’humanisation des lois des finances à venir de manière favoriser et à ne pas décourager les initiatives de coopération décentralisée dont les dons extérieurs sont souvent soumis à une forte taxation, le démantèlement des poches de corruption et la lutte contres les comprissions douteuses dans les marchés public, les discutions sur le plan d’occupation des sols (p.o.s.) et leur conséquence en cas d’inondation, les ponts du Moungo du Wouri , l’environnement et son redéploiement citoyen , la maîtrise de des espaces urbain, l’eau potable , gestion des ressources hydriques, le traitement des eaux usées, l’électrification et les délestassions, l’école, la santé, les transhumances humaines diverses et plus exactement l’exode rurale, le plein emploi, les soucis de la chambre de commerce , la fluidification du dialogue entre le GICAM et les autres syndicats, la violence délinquante et les escroqueries en col blanc, la reconstructions des habitats sociaux sous le model de la SIC, les rapports avec les chefferies sawa et les assemblées coutumières, la prise en compte des initiatives diasporiques à l’image de celle des camerounais d’Allemagne, du Royaume Uni et d’ailleurs…
Pour certains en ce moment, tout bouge pour que rien ne change hélas. Pour d’autres aussi, quelques soient nos futurs députés et leurs étiquettes, ils chercheront peut- être les meilleures solutions possibles. Ils ne feront sans doute pas le mieux, ils feront au mieux. Mais ce sera déjà bien plutôt que rien !
Tom tom na ihon niinka ba éti dambo diwo
A vos urnes et très fraternellement à vous
R. Mandjombe
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