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ACTUALITE |
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25.10.2007
Clubs mythiques SAWA: « CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA »
Photo: la photo de l´équipe de CAIMAN CLUB DE DOUALA de l´époque de MBETTE ISAAC en chaussures blanches, c´était l´époque du CAIMAN A SIX HEURES.
Chers membres symphatisants,
La saison de D2 vient à peine de se terminer que celle de D1 ouvre ses portes dès le 1er décembre 2007. Il m`a été demandé par Sa majesté, le Chef Supérieur des Bonambella ainsi que tout le canton réuni, de préparer cette saison sportive. Le CAIMAN CLUB DE DOUALA, recherche entre autres, des membres du Conseil d`Administration pouvant apporter leur contribution au club. A cet effet chaque membre est tenu d`apporter sa contribution de 500 000 FCFA (nous jouons à présent dans la cour des grands), le nombre de membres du Conseil d`administration est limité à 25. Il était normal que je vous en fasse part. Les inscriptions sont donc ouvertes.
Cdlt.
Benoît MBANGUE Président de CAIMAN DE DOUALA
HISTOIRE DE « CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA »
L’information n’étant pas consignée sur un support papier, il n’est pas possible aujourd’hui de connaître l’année de naissance de l’équipe de CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA. Les anciens de 80 ans environ n’étaient que des enfants à cette époque. Néanmoins l’histoire permet de savoir à quelle époque cette naissance a eu lieu.
Pour revenir à l’histoire de ce prestigieux club qu’est le CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA, il faut recentrer le football dans son contexte d’antan.
Le football appartenait aux équipes de quartier dans la ville de Douala. Dans le centre de la ville de Douala se trouve les AKWA, plus principalement les BONAKU.
Au sein des AKWA, il existait quatre (04) équipes de quartier :
L’équipe LUNE, à laquelle appartenait les originaires des quartiers BONAMUTI, BONALEMBE, BONABEKOMBO. L’équipe LION, composée des originaires du quartier BONADIBONG. Les équipes ECLAIR et ZEBRE qui étaient composées des joueurs venant de différents quartiers.
Les autres cantons de la ville de Douala n’avaient pas plus de deux (02) équipes en leur sein. Le championnat se jouait exclusivement dans la ville de Douala avec des équipes de la ville.
Les quatre équipes d’AKWA étaient chacune très forte et difficile à battre.
Les infrastructures sportives à savoir, les terrains de jeu étaient nombreux mais un seul terrain était homologué, il s´agissait du stade AKWA, encore disponible de nos jours et rebaptisé stade MBAPPE LEPE, nom d’une grande figure de l’histoire du football camerounais.
L’une des deux autres aires de jeu se trouvait également du côté d’AKWA, un au lieu dit aujourd’hui, «SALLE DES FETES D’AKWA » ou se déroule aujourd’hui bon nombre de mariage des ressortissants d’AKWA.
L’autre se trouvait au lieu dit «PARC DES PRINCES » à Bali et appartenait à l’équipe des BELLOIS, ressortissants des quartiers BALI et BONANJO.
Le championnat se déroulait avec une dizaine d ‘équipe mais les plus fortes étaient celles d’AKWA qui terrassaient toutes les autres équipes de la ville. Ces dernières ne pouvant plus rivaliser décidèrent de se renforcer afin de pouvoir se hisser au même niveau que les équipes d’AKWA.
Les AKWA voyant la résistance des nouvelles équipes qui leur étaient opposées, décidèrent à leur tour de ne plus posséder quatre équipes vulnérables mais deux équipes. Les fusions furent faites c’est ainsi que :
- LUNE et ZEBRE devinrent MBELLA entendez AIGLE et - LION et ECLAIR devinrent le CAIMAN (appelé chez les AKWA, «NGANDO »).
Tout ceci se passait dans les années 35 car les anciens ont souvenance que la finale qui se jouait cette année avant la fusion, opposait LUNE à LEOPARD (LEOPARD étant l’équipe unifiée des DEIDO). LUNE perdit le match en question, c’est l’une des principales raisons de la fusion chez les AKWA qui voulaient rester les maîtres à jouer du football dans la ville de Douala.
Ces deux équipes ne mirent pas un temps très long dans la vie de l’existence de ces deux clubs. Il fut décidé chez les AKWA de ne plus posséder qu’une seule équipe qui rivaliserait avec toutes les autres équipes sans souci aucun, ni la peur de perdre.
Charles LALANNE, instituteur et commerçant installé au Cameroun, il possédait une imprimerie au nom de «EVEIL DU CAMEROUN », passionné de football a joué un rôle important pour que cette idée de fusion en une seule équipe soit acceptée par les AKWA.
Il disparut le MBELLA et seul le CAIMAN resta comme l’équipe des AKWA. Parce que le CAIMAN possédait en son sein beaucoup de joueur, il va donc exister le «CAIMAN A » et le «CAIMAN B »
Seulement la grande pépinière des joueurs issus d’AKWA ne pouvant pas tous jouer dans ces deux équipes, il fut donc créer l’équipe de VENT SPORTIF dirigée par un ancien joueur originaire du quartier BONAMIKENGUE, appelé Laurent KOUO MOUNDI.
Le premier président de CAIMAN AKWA CLUB fut MBOUMOUA ESSENGUE de BONADIBONG, cadre à la société «SOUDANAISE », le père de William ETEKI MBOUMOUA ancien ministre du Cameroun et Secrétaire Général de l’OUA. Il resta longtemps à la tête de CAIMAN.
Les performances lors de sa direction à la tête de l’équipe étaient éloquentes, l’équipe remportait trophée sur trophée. Quelques grands noms de cette aventure : Ferdinand EKOKA MBANGUE, Maurice EKWE qui devint président de CAIMAN plus tard, Rabelais ELOLONGUE, ENOUMEDI, etc.
Il n’existait pas à cette époque de sélection nationale, ni même de sélection provinciale.
Au départ de MBOUM’A ESSENGUE, André MOUDINGO, magasinier à la SCOA prend la présidence de l’équipe. Il resta également longtemps à la tête de l’équipe, avec lui également le CAIMAN continua à gagner des trophées. Son successeur fut l’ancien joueur Maurice EKWE, qui mit en place une équipe dirigeante composée de ses amis avec lui à la tête. Ce type de gestion était très apprécié par tous. Ce fut les plus belles années de l’histoire du CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA. Il remporta tellement de trophées qu’il n’avait plus d’endroit ou les poser dans la maison.
C’est à cette époque que la légende de «caïman six heures » fut révélée. Pourquoi «caïman six heures » ?
A côté du stade AKWA se trouvait une église (qui existe encore de nos jours), l’église St Pierre et Paul. Elle faisait retentir ses cloches trois fois par jour. Le matin à 6 heures, le midi à 12 heures et le soir à 18 heures dont 6 heures du soir.
Lorsque le CAIMAN jouait les après midi et qu’il était mené au score, dès l’approche de 6 heures, tous les supporters avaient les yeux rivés sur leur montre, et dès que retentirent les coups de cloche à l’église voisin, des hurlements venaient des tribunes qui encourageaient l’équipe de CAIMAN. L’équipe se transcendait et aussitôt, elle marquait but sur but jusqu’à mener à la marque.
Les équipes adverses à l’approche de cette heure fatidique étaient comme paralysées et voyaient un ouragan emporter tout sur son passage. Ce fut une belle époque des pages de l’histoire du CAIMAN CLUB DE DOUALA.
C’est à ce moment que les rivalités commencèrent et décimèrent l’organisation mise en place par le président EKWE. Au sein de l’équipe dirigeante, deux groupes se formèrent. D’un côté, les amis d’EKWE, de l’autre les détracteurs.
Ce second groupe alla voir les joueurs, leur proposa de l’argent pour que ceux ci quittent le club et jouer dans d’autres équipes. C’est le début de la scission. Certains restèrent dans le CAIMAN et d’autres allèrent dans le VENT SPORTIF.
L’équipe de CAIMAN perdit de son entrain, et commença à décliner. En même temps, le président EKWE fut nommé Sous-Préfet et affecté dans une autre ville.
Le CAIMAN fut donc dirigé par un directoire composé de MILLA MBENDE, MAKOTA NGALLE, COLLET ALEXANDRE. Mais rien ne marchait plus comme avant, l’équipe n’avait plus sa force de vaincre, c’est à partir de ce moment que le CAIMAN n’a plus jamais été cette machine à gagner qui remportait tout sur son passage.
Malgré l’arrivée d’autres présidents tels : Guillaume KOUMKAN, NTONE EBONGUE, DIBOUSSI AKWA, SAME NJOH, DISSAKE, ETAME NDEDI, etc., rien n’y fit, les trophées ne se remportèrent plus à la pelle comme dans le temps.
Le CAIMAN touchera le fond en descendant en deuxième division. Il retrouva certes l’élite quelques temps après. La deuxième descente fut dramatique, car elle allie les problèmes de l’équipe à ceux de la Chefferie Supérieur des AKWA. Une fois encore il est composé deux camps. Sachant que NTONE EBONGUE avait la charge de l’équipe de CAIMAN et briguait la place du Chef Supérieur des AKWA, qu’il prit d’ailleurs par la suite, l’autre camp œuvra pour le déstabiliser et le rendra moins crédible auprès de la communauté des BONAKU, descendant d’AKWA. Le CAIMAN va donc descendre une fois de plus en seconde division et connaître sa plus grande période d’existence dans cette ligue.
…
QUELQUES FAITS MARQUANTS DE L’HISTOIRE
Le football a débuté à Douala, Yaoundé ayant créé son championnat plus tard.
Le premier capitaine de l’équipe du Cameroun fut ENOUMEDI Guillaume, joueur de CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA.
Le meilleur buteur de l’équipe nationale du Cameroun des années 50 – 60, fut KONE BUINDI Henri, joueur de CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA.
Le premier joueur à avoir gagné le concours de jeune footballeur fut un joueur de CAIMAN CLUB DE DOUALA, NGOUDO BLACK.
La majorité des joueurs de la première équipe nationale du Cameroun était issue de CAIMAN et de VENT SPORTIF cinq joueurs dans chaque équipe environ étaient sélectionnés.
Une dizaine d’AKWA évoluait donc dans l’équipe nationale.
André NGANGUE joueur moyen de l’équipe B de CAIMAN AKWA CLUB DE DOUALA, fut le premier président des arbitres du Cameroun après un passage en France.
LES JOUEURS LES PLUS TALENTUEUX DE TOUT TEMPS
ELAME ENOUMEDI Avant Centre – Demi Centre ELOLONGUE DIPOKO RABELAIS Demi Centre NGOUNDO BLACK Intérieur KONE BUINDI HENRI Ailier Gauche DOUALLA DOUMBE Avant Centre DOUMBE MONDO Avant Centre MOUDOUTHE DICKA VICTOR (Tiperari) Gardien MBELLA CHARLES (English Boy) Arrière Central MBETTE ISACC (Le Sorcier) Demi Centre BEKOMBO FRANCOIS Arrière Latéral MANGAMBA ADALBERT Demi Centre
SCHEMA DE JEU DES ANNEES 50-60
5 Attaquants (Ailier Gauche – Intérieur Gauche – Avant Centre – Ailier Droit – Intérieur Droit) 3 Demis 2 Arrières 1 Gardien
Le schéma tactique était le 2-3-5 avec attaque à outrance.
LE PALMARES DE CAIMAN CLUB DE DOUALA
1er AVRIL 1937 Vainqueur de la 3ème finale du championnat territorial 1936-37 contre SCORPION de Bonabéri par 1 but à 0 au Stade Hippodrome à Yaoundé.
17 AVRIL 1938 Battu par Oryx en finale du championnat de Douala 1937-38. Match présidé par M. Soisson Commissaire de la République.
25 MARS 1941 Vainqueur de ORYX en finale du championnat de Douala 1940-41 sur le score de 5 buts contre 1. Match présidé par le Gouverneur Cournarie émigré à Douala avec son épouse. Recette collectée : 3 655 francs CFA
4 JUILLET 1941 Victoire sur MIKADO ASTP en coupe Cigarettes Nationale sur le score de 6 buts à 0
17 AOUT 1941 CAIMAN 3 – CANON 2, en finale du championnat territorial 1940-41 après avoir été mené par 2 buts à 1 jusqu’à cinq minutes du coup de sifflet final.
1942 Coupe Cigarettes Nationale : CAIMAN 3 – LEOPARD 1
1942 – 1943 - Vainqueur du championnat de Douala contre VENT SPORTIF sur le score de 2 buts contre 1 - Vainqueur de la Coupe (trophée définitivement gagné) - Vainqueur du championnat territorial
1948 Vainqueur du championnat territorial 1947-48 en battant le LEOPARD en finale à Yaoundé par 2 buts à 1.
1949 Vainqueur du championnat territorial 1948-49 en battant AS GARDE ET POLICE en finale par 3 buts à 1.
Lettre de félicitations de Charles LALANNE, Président de la Fédération des Sports pour la qualité technique du match et le comportement sportif exemplaire des acteurs sur le terrain.
1950 Vainqueur du championnat territorial
1951 Vainqueur du championnat territorial devant LYON et ORYX.
1953-1954 Vainqueur du championnat du Wouri devant LEOPARD au goal average.
1954-1955 Vainqueur du championnat territorial
1955-1956 CAIMAN champion du Littoral devant LEOPARD.
1959 Vainqueur de la coupe du gouvernement contre VENT SPORTIF sur le score de 2 buts à 1.
SAISON CHAMPIONNAT SAISON COUPE DU CAMEROUN
1961-1962 Premier 1970-1971 Finaliste contre DIAMANT de YDE 1966-1967 Second 1971-1972 Finaliste contre DIAMANT de YDE 1967-1968 Premier 1975-1976 ½ Finaliste contre RACING BFOUSSAM 1974-1975 Premier 1976-1977 Finaliste contre CANON de YDE 1976-1977 Second
© WWW.PEUPLESAWA.COM
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Clubs mythiques SAWAOryx, Caïman, Léopard, Etoile, Aigle ...
les raisons de la déchéance Naguère dominateur et remarquable de brio, les clubs mythiques du Littoral ne sont plus aujourd’hui que l’ombre d’eux-mêmes.
Les noms Oryx, Caïman et Léopard de Douala, Etoile de Mbanga et Aigle de Nkongsamba ne sont plus évoqués aujourd’hui qu’en terme de regret et de désolation. En rapport avec l’attrait dont ils jouissaient et l’éclat particulier dont ils illuminaient, de toute sa hauteur, la compétition nationale.
Qui ne connaît les exploits authentiques de l’Oryx Jemea ? Qui ne se souvient de l’épopée du Caïman Akwa et du Léopard de Deido, de l’Aigle Royal et de l’Etoile ? Pendant des décennies, ces clubs constituèrent presque exclusivement la crème du football camerounais, avec des joueurs de renom qu’ils produisirent.
En vrac des noms :
Samuel Mbappe Lépé, Jean Pierre Tokoto, Jean Moukoko de Confiance, Emmanuel Koum (Oryx) ; Isaac Mbette, Victor Hoya, Gwade, Jonas Bikong (Caïman), Kwedi Paul et Gaston, Roger Milla (Léopard) ; Emmanuel Ndoumbè, Jean Essombè, Etouman, Serge Fotso, Jean-Marie Tsebo, Appolin Simo, Michel Kaham (Aigle), Léonard Nséké et Emmanuel Toto (Etoile).
Des noms évocateurs, qui formèrent, pour la plupart et à un moment donné, l’ossature de l’équipe nationale. Or ces clubs ont depuis, été relégués au dernier plan et la génération d’aujourd’hui est loin d’être l’alter ego de sa devancière. L’on se pose la question de savoir le pourquoi de cette spectaculaire déchéance. Or les raisons de cette triste situation résultent de quelques faits dont on peut aisément situer les repères. Ces clubs mythiques sont victimes du fait d’une gestion en inadéquation avec celle traditionnelle qui fut le socle même de leur fondation et de leur force.
Mutations inappropriées
Les diverses mutations survenues dans la gestion des clubs, qui commandent que ceux-ci soient dotés aujourd’hui de structures modernes, n’ont pas toujours eu des effets positifs pour ces équipes essentiellement de tradition. Le fait sans doute qu’elle croit pouvoir gérer sans s’en référer à la base… traditionnelle, a inévitablement occasionné la fracture avec cette base qui ne manque pas de traiter la nouvelle génération d’arrogance et de prétentieuse. Autre fait ayant contribué efficacement à la déchéance des clubs mythiques du Littoral, le manque d’amour et d’attachement aux emblèmes et à la devise du club –l’esprit du football business (à qui perd gagne) – qui est le caractère dominant des générations d’aujourd’hui. Cet état de chose a fini par installer des conflits permanents ayant entraîné, chez certains clubs, la ruine et la déchéance. L’exemple de l’Oryx est patent. Le quintuple champion du Cameroun, quatre fois aussi vainqueur de la coupe nationale avec en sus le titre de premier champion d’Afrique de clubs, est sans doute de tous les clubs mythiques au creux de la vague celui qui paye le plus le prix des conflits des générations et des querelles intestines. Relégué il y a aujourd’hui un peu plus d’une trentaine d’années, “Jeméa” n’est pas parvenu jusqu’ici à montrer le bout du nez en division d’élite où il régna pourtant en maître pendant de longues années. Dommage.
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