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MUSIQUE: Francis Kinguè, l´arrangeur de l´hymne national du Cameroun.

 
Je suis né dans une famille où il y a pas mal de musiciens, Daniel Eyango entre autres. Je suis parti du Cameroun en 1947 pour entrer en classe de 6e dans les Hautes-Pyrénées en France. Mon premier copain à l’école était le fils du professeur de musi



Francis Kinguè : C’était bien, dit le maître. (09.10.2003)

Propos recueillis par Thiéry Gervais Gango

Un patriarche de la musique camerounaise raconte son itinéraire.

Quand et comment êtes-vous arrivés à la musique ?

Je suis né dans une famille où il y a pas mal de musiciens, Daniel Eyango entre autres. Je suis parti du Cameroun en 1947 pour entrer en classe de 6e dans les Hautes-Pyrénées en France. Mon premier copain à l’école était le fils du professeur de musique. D’entrée, j’ai touché au clavier. Au bout de trois mois, je l’abandonne pour le saxophone alto. En classe de quatrième, je vais rencontrer Manu Dibango qui s’intéresse lui aussi à cet instrument. Nous allons travailler ensemble. Nous faisons des duos de saxophone. Nous n’avions pas plus de quinze ans à l’époque. Nous avons pratiquement le même âge puisqu’il est né en décembre et moi en avril de la même année. J’avais une année d’avance sur lui en ce qui concerne le saxophone. Il s’est montré très doué. A ma grande surprise, il en fera son métier. A l’époque, lorsqu’on allait en France, il ne fallait pas dire aux parents qu’on y allait pour faire de la musique. Ma formation, je l’ai surtout faite dans la famille de mon professeur de musique dont la femme, la soeur et le fils étaient tous des musiciens. Par la suite viendront le conservatoire et les groupes que nous formions. Ma formation s’est surtout faite au collège. Elle dure de 1948 à 1956 par-là.

Qui étaient vos idoles à l’époque ?

J’écoutait surtout du jazz. Manu et moi, nos idoles, c’est Louis Armstrong, Duke Ellington, et comme saxophoniste, nous adorions John Forduis de l’orchestre de Duke Ellington. Quelquefois, il y avait Charly Parker qui était très difficile à imiter. Nos idoles étaient surtout Américains. D’ailleurs, quand nous formions nos orchestres, nous changions tous de nom. (Grand rire !) Le mien c’était Bill Binam, Manu c’était Man Titi, Francis Bebey c’était Brown.

A quel moment rencontrez-vous Francis Bebey ?

Un an ou deux après Manu. Nous nous rencontrions dans les colonies de vacances de jeunes Camerounais. Quand je parle de formation, c’est lui le guitariste du groupe. Avant nous, il jouait déjà de la guitare. Il avait une formation très avancée déjà. Nous avons beaucoup appris de lui.

Vous n’avez pas dit quel rapport vous aviez avec la musique de chez vous...

Tout en étant jazz, nous n’avons jamais oublié nos origines. Il y a toujours eu cette envie de revenir chez nous pour exploiter et valoriser notre patrimoine. Ces derniers temps, j’ai beaucoup entendu dire que Manu ne connaissait pas le pays, qu’il vivait loin d’ici. Ecoutez simplement "M’Boa". Ça veut tout dire. Malheureusement, nous n’étions pas suffisamment formés. Nous ne vivions pas les réalités de chez nous. Il a donc fallu qu’on rentre ici, en 1960, qu’on retrempe dans la réalité locale pour nous rendre compte qu’il y avait pas mal de potentialités. C’est à cette époque que je rencontre tous les géants du makossa que vous connaissez. Rameau Lobè Lobè qui m’a vraiment emballé. C’est de sa bouche que j’ai entendu pour la première fois le mot "kossa" qui a donné sa racine à "makossa". C’était le musicien le plus en vue à l’époque. C’est vrai qu’il y en avait d’autres comme Ebanda Manfred ou un certain Kossi. Je ne parle pas des ténors qui, comme Daniel Eyango à ce moment-là, sont encore jeunes et jouent au sein des orchestres bien formés. D’ailleurs, c’est lui qui dirigeait la première formation nationale au moment des indépendances.

A quoi ressemble le Cameroun en ces années 50?

Il y a une mauvaise imitation de la musique sud-américaine, le Meringué, qui fait fureur ici. Il n’y en avait que pour cette musique et pour la rumba congolaise.

Jusqu’en 1960, année de votre retour au pays, qu’est-ce que vous avez fait en France en dehors de ce que vous avez dit plus haut ?

Pendant que je poursuivais des études de lettres, il y a eu mon prix de solfège académique et le trophée de saxophone au conservatoire. Je suis devenu un professeur de lettres. J’ai mûri. J’ai grandi. Je me sius marié. Je rentre en 60 malgré moi. Le Cameroun vient d’être indépendant. Moi je prépare ma rétention militaire lorsque M. Jean Ekwabi Ewanè, ministre de l’Education nationale vient faire un recrutement en France. Un camarade avec qui j’ai fait des études pédagogiques d’enseignement secondaire à la Sorbonne m’en parle. J’aurai l’honneur de rencontrer M. le ministre qui connaissait ma famille. Il m’a dit d’aller prendre mes affaires parce que nous allons rentrer au pays. C’était tout. Un père avait parlé. Je suis parti ainsi de Paris pour me retrouver du jour au lendemain au Collège moderne de Nkongsamba que nous transformerons par la suite en Lycée de Manengouba.

Au Cameroun, c’est l’école ou la musique ?

Les deux. Je suis enseignant et j’enseigne. Mais la musique est plus forte que moi. Dès que j’en ai l’occasion, je réunis les enfants et on forme un orchestre. En 1961, je suis affecté à Yaoundé au ministère. A partir de cette année, j’ai mon orchestre et une boîte, le Black and White, qui s’ouvre. Je joue là-bas sous la direction de Daniel Eyango. Il a pris de l’âge. Un jour, il nous dit que nous devons continuer sans lui. Je deviens chef d’orchestre.

Comment le jazzman va se positionner par rapport au makossa qui monte ?

La musique que je fais à cette époque-là est bâtarde. Je ne sais même pas si c’est du makossa. J’avais surtout un faible pour le High-life. J’aimais aussi beaucoup la variété. Il y avait donc la rumba, le Tcha-tcha-tcha, la valse, le tango, des paso-doble, du slow, du Rock’n’roll et, un peu plus tard, le twist. La musique camerounaise n’a pas encore le vent en poupe. Mais nous sommes nous mêmes en admiration devant les spécialistes, dont Jean Bikoko Aladin. Mais personnellement, je n’en joue. Parce que je n’en joue pas bien.

Pourtant on va vous considérer plus tard comme un patriarche de la musique camerounaise dont le modèle phare est le makossa…

Je ne veux pas être considéré comme un patriarche du makossa. Un patriarche de la musique camerounaise en général, peut-être. A l’époque, ce qui m’intéresse, c’est de lire des notes. Les gens jouent comme cela. C’est pourquoi je vais m’investir pour enseigner la musique. Parfois au détriment des lettres...

Pourquoi le makossa a-t-il tant de mal à s’exporter ?

Je ne dis pas qu’il soit difficile à s’exporter. Simplement, je pense qu’il s’exporterait mieux s’il était souvent écrit. S’il était mieux codifié. Je ne joue pas le makossa parce que je respecte le talent des Ebanda et Eyoum. J’écrirais mieux sur son sujet que je n’en jouerais..

A quel moment la production musicale va-t-elle prendre de l’importance chez vous ?

Je ne sais pas si elle va prendre de l’importance, dans la mesure où mes tentatives vont se montrer infructueuses. A l’époque, j’ai enregistré trois disques chez Philips, l’une des plus grandes marques mondiales. Le premier disque qu’ils ont publié et qui avait pour titre " Kolo Kolo " (dur, dur en Duala) en 1969, ne m’a pas encouragé. Ils ont pris le plus mauvais. Et c’est vrai que le disque s’est vendu comme de petits pains. J’en avais un peu honte. Par contre, plus tard, j’aurai l’occasion de m’exprimer avec l’Orchestre national.

Vous arrivez à l’Orchestre national en 1978. Son histoire est marquée de vos empreintes…

Quand j’y arrive, je trouve que Manu Dibango et Francis Bebey y avaient été invités. Ils ont fait un recrutement de bons musiciens pris dans l’armée et la gendarmerie qui avaient une fanfare. Il y en avait pour une vingtaine. Par la suite, j’ai complété l’Orchestre. A la tête de l’Orchestre national, je me suis aperçu que quelques-uns avaient un embryon de formation. Du coup, je n’ai fait qu’enseigner la musique. C’était l’école. Le ministre Guillaume Bouellè qui remplace le ministre Ze Nguélé va me donner pas mal de latitude.

Avec qui menez- vous l’aventure ?

Autour de moi il y avait Archangelo de Monekok, très grand musicien, arrangeur et instrumentiste, Pierrot Tchana et d’autres jeunes gens qui avaient beaucoup de talent.

De quels moyens disposiez-vous ?

Le ministère de la Culture avait des moyens pour cela. Il y avait des orchestres qui marchaient. Les orchestres de l’armée, de la gendarmerie et plus tard de la police. Il fallait faire quelque chose de différent. L’Etat payait tous les musiciens selon un barème qui dépendait des qualifications. Les données étaient quelque peu faussées. Quant au matériel, l’Etat avait mis les moyens à cet effet. C’était un matériel de très bonne qualité qui a manqué de personnes pour l’entretenir.

Entre 1978 et 1986, il y a eu pas mal de choses non ?


Oui. Vraiment pas mal. Il y a eu du beau travail. La preuve est dans cette génération de musiciens exceptionnels qui ont, d’une manière ou d’une autre, bénéficié de cette expérience-là. C’était une époque. Mais je sais qu’aujourd’hui, cela est aussi possible. Il faut s’en donner les moyens et y croire. Il n’y a pas eu de suivi. Il n’y a pas eu de meneur. Ce n’est pas le ministre qui va descendre sur le terrain pour donner l’impulsion. Beaucoup pensent que là où ils sont, ils doivent attendre que les choses viennent d’en haut. Je n’en fais pas partie. Lorsque Nellè Eyoum est décédé, j’ai tenu une réunion, en tant que délégué provincial, pour l’organisation des obsèques. Un musicien s’est levé et m’a demandé si cela voulait dire qu’il n’avait qu’une envergure provinciale. J’ai appelé le ministre Bipoun Woum qui a accepté de se déplacer pour les obsèques.


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