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VIP News |
Retour d’un puriste du makossa
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Depuis son dernier succès " Mambo Penya " dans les années 80, Bell’A Njoh et sa voix grave cherchent toujours à reconquérir un public camerounais réputé très versatile.
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Depuis son dernier succès " Mambo Penya " dans les années 80, Bell’A Njoh et sa voix grave cherchent toujours à reconquérir un public camerounais réputé très versatile. Surtout dans un contexte où un genre de makossa imposé par le chanteur Petit-Pays a tendance à tout dévorer, avec l’accord du public. Résultat : on a beau faire des efforts pour rester proche du style des pères fondateurs, le succès n’est pas garanti. C’est le cas avec ce nouveau disque très entraînant. En écoutant les chansons de " Ton amour me tue ", on se dit que Bell’ A Njoh a plutôt bien résisté aux influences actuelles. Et c’est un peu normal pour un vieux briscard. Mais il faut bien se résoudre à constater que ce n’est pas ce qui, commercialement se fait de mieux. L’artiste le sait bien. Et s’il a décidé de rester fidèle, ce n’est pas uniquement parce qu’il est dépositaire de la tradition sawa. Le makossa pur a encore son public. Et après tout, l’essentiel pour tout le monde, n’est pas de vendre des milliers de copies et s’enrichir. Tout en perdant son identité…
Bell’ A Njoh, Ton amour me tue, Editions Moussa Haïssam, 2005, 10 titres.
Nelle Eyoum
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Léopold Moume-Etia
Les ouvrages laissés par Léopold Moume Etia fond de lui un personnage qui s’est appliqué à restituer les choses et l’histoire dans leurs contextes réels, afin que nul n’en n’ignore. Il en est ainsi de " Cameroun : les années ardentes "...
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“ Volume et lumière ” à Kribi
Du 16 décembre 2005 au 12 janvier 2006, Francis Mbella, peintre camerounais, expose au Palm Beach Plus à Kribi, une collection de son vaste travail en la matière...
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