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“ Volume et lumière ” à Kribi
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Du 16 décembre 2005 au 12 janvier 2006, Francis Mbella, peintre camerounais, expose au Palm Beach Plus à Kribi, une collection de son vaste travail en la matière
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Du 16 décembre 2005 au 12 janvier 2006, Francis Mbella, peintre camerounais, expose au Palm Beach Plus à Kribi, une collection de son vaste travail en la matière. Cette exposition dénommée “ Volume et lumière ” mettra en exergue le talent de l’artiste dans son domaine. Ce n’est pas la première fois que Francis Mbella qui a une renommée mondiale, arrive au Cameroun. C’est en 1990 que l’artiste se fait découvrir pour la première fois au Cameroun, au Centre culturel français.
Mais avant cela, l’ambassade du Cameroun à Paris est son lieu d’exposition par excellence, en dehors des autres espaces d’exposition qui l’accueillent dans le monde. Depuis lors, on a pu apprécier ses œuvres à la Galerie Mam à Douala en 1996, à l’espace Doual’art en 2001 et 2003, à la Galerie des Continents à Douala en 2003 et au cours de cette année, au Carré des Artistes à Douala.
Artiste confirmé Francis Mbella est le premier peintre à faire une alliance du tapioca à la gouache, à l’huile ou à l’acrylique. Une façon de traduire des sensations où le réel y est transfiguré par l’émotion, la subjectivité. Au-delà de cette pratique du tapioca, ce peintre camerounais utilise aussi la technique des encres de couleurs. Une “ méthode prospective d’objectivation des sensations, exprimées par un travail de superposition des surfaces et des niveaux, les formes géométriques, la construction des surfaces et l’équilibre des volumes. Autour de ces nouvelles formes d’expression, la vigilance créative évolue contre les rectitudes des formes et la manière pour une consommation de la production artistique qui ne s’encombre pas de connotations symboliques mais réfléchit la capacité même de son contenu ”, précise le peintre dans son Press Book.
Le travail de Francis Mbella lui a déjà permis de glaner plusieurs prix. En 1990, il a eu le prix du Mérite culturel de la ville de Paris, grâce à sa prestation sur le documentaire consacré au thème “ les reflets de la couleur ”, le Mérite culturel de l’Etat de Californie à Sacramento en 1994, le Mérite culturel de l’Organisation des Nations unies en 2004.
Par V.N
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Léopold Moume-Etia
Les ouvrages laissés par Léopold Moume Etia fond de lui un personnage qui s’est appliqué à restituer les choses et l’histoire dans leurs contextes réels, afin que nul n’en n’ignore. Il en est ainsi de " Cameroun : les années ardentes "...
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