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Grâce Decca à cœur ouvert, au lendemain du Decca Show

 
Quand on bâtit des stratégies, il faut toujours se fixer un but. Notre objectif, c’est de promouvoir la musique.


Le 26 Mai 2004
© R. M., Cameroon Tribune


Y avait-il un objectif précis visé par le Decca Show ? Si oui, croyez-vous l’avoir atteint ?


Quand on bâtit des stratégies, il faut toujours se fixer un but. Notre objectif, c’est de promouvoir la musique. On a des artistes qu’on a produits, c’est-à-dire moi-même, Isaac Decca, Joly Din et dans ce cas-là, on a décidé de faire dans l’événementiel. Nous avons constaté qu’il y a un manque dans ce domaine et on veut mettre l’artiste à sa place. Nous avons des valeurs chez nous, mais dans la chaîne, il manque toujours un élément. Soit on a un bon arrangeur, mais on n’a pas un bon artiste ; ou alors, l’artiste est compétent, mais l’arrangeur n’est pas bon. Pourtant, notre pays a un potentiel énorme. Il y a la matière, mais il manque les compétences nécessaires pour la transformer.

Votre spectacle au Palais des Congrès de Yaoundé il y a presque deux semaines a été gâché par une défaillance technique et le public est reparti un peu déçu. Comptez-vous vous rattraper très prochainement ?

Je n’ai pas du tout l’impression que le public est reparti déçu. Lorsque la panne technique est survenue, c’est vrai que certains Européens ont commencé à rentrer, mais les Africains, les ministres, les ambassadeurs qui étaient là, sont restés. Ça m’a beaucoup marquée. Entre le public et nous, il y a eu une communion. La panne qui était au niveau du micro, on l’a couverte en faisant des chorégraphies pendant que le technicien travaillait. Les encouragements qu’on a reçus après nous ont fait chaud au cœur. On m’a toujours dit que le public de Yaoundé est difficile, j’ai été surprise de voir un public chaleureux est respectueux. Et je pense que c’est grâce à toutes ces émotions qui enveloppaient la salle que l’incident n’a duré que 5 mn. Il y avait des spectateurs qui criaient en disant : " Même sans le micro, on veut vous entendre chanter ". C’était chaleureux. J’ai vu des femmes enceintes qui étaient là.

Après ce Decca Show, quelle est la suite du programme de Grâce Decca Productions ?

J’ai mon prochain album que je dois préparer, et d’autres projets. On veut faire
Paris et d’autres villes de pays étrangers. Egalement, je prépare une tournée d’un mois aux Etats-Unis d’Amérique. Je pars début juin et j´irai à Washington, à Atlanta, à Los Angeles, et à Newton, Dallas, si Dieu le veut. J’insiste toujours là-dessus, car, c’est Dieu mon guide.

Y a-t-il d’autres membres du clan Decca, artistes en herbe que le public pourra découvrir après Isaac et Dora ?

Il y a d’autres qui ne chantent pas, mais qui dansent beaucoup: Désiré, Isabelle, Cathy.
Ils ne font pas de prestation. Isabelle chante, mais elle fait dans le style des jeunes.


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Les Decca à l’unisson à Douala

L’un est le "Parrain", l’autre "l’Espoir". L’une est la "Princesse et l’autre la "Renaissance". Les quatre ont offert un show digne de leur réputation vendredi.

C’est sous des ovations d’un public en délire qu’est apparu, sanglé dans un costume beige, le " Parrain " de la famille Decca. Pour cette première édition du " Decca Show ", ce vendredi 7 mai, le cinéma le Wouri est le lieu où les quatre artistes, frères et sœurs, se défoulent. Ben Decca, de sa voix haute et profonde, commence le show par un slow bien senti. Pas besoin de comprendre la langue locale pour imaginer qu’il s’agit là d’une histoire d’amour. Sentimental jusqu’au bout des ongles, l’artiste, d’une voix suave, entraîne les spectateurs dans un univers de rêve. Le décor s’y prête également. Ces lumières tamisées, ces petits faisceaux lumineux comme des taches sur les murs et ces rideaux aux couleurs ocre transforment la scène en une salle de palais royal. Et la voix de Ben qui remplit toute la salle laisse le public béat d’admiration.

Et quand elle entre sur scène, la " Renaissance " est tout de rouge vêtue. Le son de sa voix résonne . Dora et son grand frère se livrent à un duo surprenant et envoûtant. " Si petit mais protecteur ", dit-elle de Monsieur Ben qui l’amène au devant de la scène. La foule, bon public, réagit à chaque fois par des vivats. Quand le " Parrain " se met à fredonner les anciens succès, la salle se lève comme un seul homme et scandeà tue-tête " Amour à sens unique ", et d’autres chansons qui ressassent les souvenirs du bon vieux makossa des années 80 et 90. Inlassablement, les spectateurs en redemandent et c’est de tout cœur, rassuré et confiant qu’il continue le show. Dora n’est pas en reste. Ses rythmes époustouflants enflamment les sens, surtout que des danseurs et danseuses brillants qui les accompagnent sont bien montés. Elle livre ainsi tout son premier album à un public qui a tôt fait de sympathiser.

Quand " l’Espoir " arrive, il est attendu de pied ferme par des mélomanes chauffés à blanc qui lui réclament très vite " Wamsè ". Isaac, les rassure et c’est comme cela qu’il emboîte le pas à Ben et Dora. La " Princesse Grâce ", vêtue d’une robe en cerceau, fait une entrée spectaculaire. Même sa douce voix qui fredonne un slow n’arrive pas à contenir le public déjà hystérique. Bien après, c’est par des gestes merveilleusement coordonnés, des torsions de hanches frénétiques qu’elle tient en haleine le public. Grâce se montre à la hauteur de sa renommée, le Makossa coule de source. A la fin, même ceux qui au départ avaient estimé le prix d’entrée un peu cher sont unanimes, ce spectacle de plus de trois heures a largement valu son pesant d’or.
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