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Ngum’a jemea

 
David MBANGA EYOMBWAN ayant conçu et rédigé en langue douala une pièce de théâtre intitulée « Ngum’a jemea » relatant le martyr de Rudolph Douala- Manga Bell, il me proposa de traduire ce texte en langue française


David MBANGA EYOMBWAN ayant conçu et rédigé en langue douala une pièce de théâtre intitulée « Ngum’a jemea » relatant le martyr de Rudolph Douala- Manga Bell, il me proposa de traduire ce texte en langue française afin de le faire connaître au-delà de la sphère culturelle des sawas. Je me trouvais à Douala, directeur général du Centre universitaire de Douala : 1984-1987. Mon travail de traducteur fut achevé et remis gracieusement à M. David Mbanga Eyombwan sous le premier titre : Rudolph Douala-Manga, martyr du nationalisme..


Il y a lieu de se réjouir de ce que cette année 2005, il se soit trouvé un mécène pour financer la mise en scène de cette pièce dans sa version française, à savoir le fondateur du Centre d’initiation à la culture douala (CICD). Pour l’ouverture des Rencontres théâtrales internationales du Cameroun (RETIC), le 17 Novembre 2005 au Centre Culturel Français de Yaoundé, le CICD a obtenu de faire jouer cette pièce. Si les personnalités invitées à cette représentation n’avaient reçu dans leur enveloppe une note séparée qui précisait bien que « Ecrite en langue douala par David Mbanga Eyombwan et traduite en langue française par le professeur Ebénézer Njoh Mouelle, cette pièce a été mise en scène par Louise Belinga Endzié et David Noundji »,un grave malentendu s’installait dans l’esprit de plus d’un !.En effet, le programme distribué au public de ce soir du 17 Novembre présentait la chose comme suit : « NGUM’A JEMEA (La foi inébranlable) de David Mbanga Eyombwan », comme si c’était ce dernier, David Mbanga Eyombwan, qui était l’auteur de la version française, aucune mention du traducteur n’ayant été faite nulle part ailleurs sur ce document ; contrairement à la correction qui avait caractérisé la toute première représentation du 26 Août à l’auditorium Jean Paul II au Mont Mbangkollo. Les journaux qui ont eu à rendre compte de cette soirée, tels Cameroon Tribune et Le messager, avaient bel et bien reçu et répercuté la bonne information sur l’auteur de la traduction de « Ngum’a Jemea ».

Dans sa lettre du 6 Janvier 1983 en ma possession, David Mbanga Eyombwan m’annonçait l’envoi de deux pièces de théâtre qu’il venait d’écrire en langue douala : Ngum’a Jemea et Mikusa (Les veuves). Mon intérêt pour la traduction en langue française se manifesta sans attendre pour le premier qui me semblait avoir une portée politiquement plus affirmée. Je m’empresse de dire qu’il n’y a aucun contentieux entre David Mbanga Eyombwan, lui-même membre du conseil d’administration de notre société de droits d’auteur la Sociladra et moi-même./

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