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100% makossa Grace Decca

 
Grace Decca et makossa. Ce n’est pas pour rien que son nom rime avec une musique dont elle reste l’une des plus fidèles artisanes. Avec " Donne-moi un peu d’amour ", son quatrième album


Grace Decca et makossa. Ce n’est pas pour rien que son nom rime avec une musique dont elle reste l’une des plus fidèles artisanes. Avec " Donne-moi un peu d’amour ", son quatrième album, l’artiste camerounaise oeuvre avec élégance pour la grandeur d’un makossa doux et chaleureux.


" Donne-moi un peu d’amour ", dernier album de Grace Decca. Quatrième du genre pour l’artiste camerounaise. Un album de makossa. Une fois n’est pas coutume, nous revenons sur un album, plus très jeune puisqu’il est de l’année dernière, pour parler d’un genre musical trop injustement relégué au second rang de la musique africaine.


Effacé des tablettes par la déferlante soukouss congolaise dans les années 90, le makossa était, il y a peu, le premier ambassadeur culturel du continent noir. Tout le monde se souvient du tube et de l’album tube planétaire " Soul makossa " (1972) du grand Manu Dibango, plagié par un certain Michael Jackson en panne d’inspiration.


Grace Decca

Le makossa est éclipsé. Mais il n’est pas mort pour autant. Il a simplement un peu de mal à franchir les frontières de son Cameroun natal. Et c’est bien dommage. Il suffit d’écouter le dernier album de Grace Decca pour s’en convaincre. Le son est riche, sucré, mélodique. Musicalement, comptez bien une ou deux longueurs d’avance sur les actuels courants africains en vogue. Forêt de rythmes, finesse de la batterie ou des guitares, justesse du saxo, rien à dire.


Et puis, il y a Grace. Complètement dans sa musique. Auteur-compositeur et surtout interprète, serions-nous tentés de dire. Dommage que notre registre linguistique soit trop réduit pour comprendre les textes. On se doute seulement avec le titre de l’album que Grace parle d’amour. Mais elle le chante de belle façon. Elle pose littéralement sa voix sur la musique. Sans avoir l’air de forcer, on sent qu’elle évolue totalement dans son élément. Un poisson dans l’eau. L’album est une douceur qu’on aurait tort de se refuser.


Grace Decca, " Donne-moi un peu d’amour ", JPS production 2001

17.05.2002, par David Cadasse

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Elle est à son quatrième album solo et rien - si non pas grand chose - n´a changé dans la thématique de ses chansons. Depuis 1986 en effet, amour et tendresse semblent bien être le cheval de bataille de cette chamante chanteuse qui, à force de porter la casquette de la femme qui a besoin d´amour, qui a besoin qu´on lui dise "je t´aime" qui a besoin d´être très souvent appelée "princesse", est devenue elle-même un symbole fort de cet amour et de cette tendresse qu´elle chante.

Son tout dernier opus ("Donne-moi un peu d´amour") en est une illustration forte.
Bien au-delà de la multitude des thèmes d´ordre social abordés dans cet album (l´ingratitude "Itaba", l´impunité "Nguéa na Nguéa", etc.), l´oeuvre de Grace Decca apparaît aujourd´hui comme l´une des rares créations musicales contemporaines encore fidèles au makossa originel à la base. C´est certainement ce qui fait de Grace Decca la Princesse du Makossa
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