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VIP News |
Point de vue d´Eko Roosevelt sur le Ngondo
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Tous les Sawa, qu´ils soient en Afrique du Sud, de l´Ouest ont quelque chose en commun
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Que pensez-vous du Ngondo et qu´en attendez-vous ?
Eko Roosevelt: Le Ngondo a sa raison d´être. C´est pourquoi lors des états généraux de la culture, nous avions demandé qu´on le réhabilite. C´est la mémoire du passé d´un peuple. Le ngondo nous rappelle ce que nous avons été, comment nous avons vécu. Et l´histoire ne se fait pas sans ces éléments. Bien plus, on ne construit pas une société, une identité culturelle sans appel au passé. Voyez-vous, nos enfants grandissent dans de grandes villes modernes. Et quand ils reviennent au village, ils sont dépaysés. Ils ne comprennent pas cette vie. En somme, ils sont déracinés….chez eux. Il faut que l´enfant prennent conscience de ces valeurs, de manière à s´armer pour encaisser la culture des autres. Je souhaite que le Ngondo soit une grande fête. Mais il faut le préparer tout au long de l´année. C´est notre fête, exactement comme la Noel ou le Nouvel An qui sont des fêtes occidentales.
Le chanteur-compositeur-musicien a t-il quelque chose de Sawa qui ressort dans ses oeuvres ? Et entre lui et un autre chanteur Sawa trouve-t-il des traits communs ?
Eko Roosevelt: Il y a beaucoup de ressemblance. Quand un Sawa compose une chanson, il y a indubitablement des traits communs. Sans doute, la réligion chrétienne nous a apporté aussi l´art de la science musicale occidentale, par des cantiques et les oeuvres des grands compositeurs que sont Mozart, Bach, Beethoven etc.. Par extension, tous les Sawa, qu´ils soient en Afrique du Sud, de l´Ouest ont quelque chose en commun: l´apport occidental et ce sont des peuples d´eau. Leurs musiques sont dans le fond pratiquement la même.
Pour ce qui me concerne, mon inspiration vient de la mer.
Propos recueillis par GIDE
Ngondo, Dec 1991
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