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Manu Dibango au cœur d’une Afrique sonore à Brazza
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Il n’arrête pas de courir. A la moindre invitation, grand Manu répond présent. Surtout lorsqu’elle vient de son continent d’origine. Un plaisir sans cesse renouvelé de partager son expérience avec les siens et de replonger dans ses racines.
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21.07.2003
Sallé John et d’autres artistes camerounais invités au Festival panafricain de musique.
Il n’arrête pas de courir. A la moindre invitation, grand Manu répond présent. Surtout lorsqu’elle vient de son continent d’origine. Un plaisir sans cesse renouvelé de partager son expérience avec les siens et de replonger dans ses racines. Le Congo, le géniteur du Soul Makossa connaît un peu, pour avoir évolué de l’autre côté du fleuve : Kinshasa, à l’époque de Kabasele. Il y a d’ailleurs investi dans le domaine de l’hôtellerie. Du 2 au 9 août prochain, le monument de la chanson africaine sera l’hôte des habitants de Brazzaville, à l’occasion du 4e Festival panafricain de musique (FESPAM). L’événement, qui déploie cette année une
grande artillerie, inscrit par ailleurs Sallé John, Petit Pays, Grâce Decca, le groupe Macase et le rappeur Yannick, auteur de la déferlante " Cette soirée-là ", une remarquable reprise de " Ces soirées-là " du Français Claude François.
C’est le cœur du contient entier qui battra dans la capitale congolaise, dans d’importants croisements de sons. La fête s’annonce grandiose au regard de l’affiche qui comporte également Youssou Ndour, Werra Son, Brenda Fassie, Makoma, Havana Open (groupe cubain), Koffi Olomidé, Magic System, Femi Kuti, Tiken Jah Facoly, Jacky Rapon (chanteur de zouk martiniquais), Jocelyne Labylle ( chanteuse de zouk guadeloupéenne), Meiway, Mama Keïta, Pierrette Adams… La liste est longue. Que la fête commence !
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Déclaration de Boum Nyébél
l’année 2008 « Année d’hommages au nationalisme panafricain de toutes les époques » ; avec entre autres carrefours de célébration et en prime, le « Cinquantenaire » de l’assassinat de « Mpôtôl » Um Nyobe....
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Le 13 septembre et le captage d’héritage
les manifestations marquant la célébration du cinquantenaire de l’assassinat de Ruben Um Nyobe par le gouvernement français et ses suppôts locaux le 13 septembre 1958, un militant de l’UPC décrypte la symbolique de cette date....
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